Perversions à l'hôpital -- Ch. 02/03
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byJohnUhuru, Source: Literotica
Je viens de passer vingt-quatre heures l'hôpital, où l'on tente de me soulager d'une crise de douleur aiguë. Une aide-soignante un peu perverse tente d'apaiser mes souffrances avec des moyens peu conventionnels...
La nuit suivante, le petit jeu reprit... Mélissa pénètre dans ma chambre avec un sourire étrange sur les lèvres. Je dois bien avouer qu'à ce moment, je la trouve ravissante: ses cheveux sont lâchés sur ses épaules, sa tenue de travail est différente et met davantage en valeur sa taille fine. Mais je ne me sens pas d'humeur lubrique: les douleurs ont repris... Et ça se lit sur mon visage, si bien que de suite, elle voit que quelque chose cloche et me lance de façon très cash:
« Bonjour mon chou, si tu veux des antalgiques, il va falloir être docile... j'ai été patiente hier... frustrée mais patiente. Ça ne sera pas le même scénario cette nuit » dit-elle avec un sourire sardonique en claquant la porte.
Le changement de ton est radical. Je comprends à ce moment-là qu'elle ne plaisante pas et que je ne me suis pas fait de film. Mais de mon côté aussi je suis résolu, la nuit précédente m'avait mis terriblement mal à l'aise, les actes semblaient "médicaux" mais j'avais quand même l'impression d'avoir trompé ma femme...
Pourtant, vers deux heures du matin, je n'en peux plus. Les douleurs sont terribles et je me décide à contre-cœur à sonner l'alarme... Quelques secondes plus tard, l'aide-soignante entre dans la chambre, et me lance:
« Alors, on est enfin ...
... décidé? »
Je ne réponds pas, mais elle se laisse tomber sur le lit et commence à se déshabiller, puis elle relève ma blouse et se met à me toucher le pénis et les testicules... Il n'y a plus d'ambiguïté sur son objectif! Pourtant, je ne sais pas ce qu'elle imagine, mais avec la douleur intense qui me tenaille et qui bat jusque dans mes couilles, tout désir et toute possibilité d'érection semblent inhibés chez moi. Rapidement, elle semble s'en rendre compte et me dit presque en chuchotant:
« T'inquiète, j'avais prévu ça... Mais j'ai de quoi te redonner de la vigueur! »
Sitôt dit, sitôt fait : elle sort une sorte de sonde d'un emballage stérile et commence à l'introduire dans ma verge molle... Avec l'énergie du désespoir, je tente de me dégager: je lui plaque une main dans le dos, et je la repousse en gesticulant... mais c'est sans compter avec mon état physique diminué : Elle se lève prestement, s'assoit à califourchon sur mon visage en me maintenant les bras contre le corps avec ses cuisses. En quinze secondes, je suis immobilisé et elle a le champ libre pour s'occuper de ma bite...
« Pendant que tu es là, tu peux lécher ma chatte? Aller, dépêche-toi... Si tu veux que je sois douce, il faut que tu fasses un effort... » minauda-t-elle.
Le nez collé à son anus et la bouche à sa vulve, je suis dans l'impossibilité de voir ce qu'elle est en train de me faire. Alors, avec un terrible sentiment d'impuissance, je commence à visiter son sexe avec ma langue, non pas que je ...