Tes voisins
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
ff,
ffh,
couple,
couplus,
candaul,
voisins,
grosseins,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
fdanus,
tutu,
couplea3,
Auteur: Moctezuma, Source: Revebebe
... s’approchèrent de ta nuque et t’attirèrent à elle. Vos lèvres se retrouvèrent. Un baiser humide de désir interdit. Alors tu tendis la main, accrocha le bout de ses doigts, et emmena doucement Émilie vers la porte de ta chambre.
On dit trop souvent des relations lesbiennes que les femmes y apprécient la douceur et la sensualité. Que le sexe y est plus lent et plus long, souvent davantage entrecoupé de rires ou de discussions ! Que ces relations sont moins dans la performance et plus dans le partage et dans la tendresse ! Avec Émilie, tu découvres le feu, la moiteur et l’urgence.
Dès que tu mets une main sur son bras, tu te rends compte que son corps est extrêmement chaud. Comme s’il brûlait en continu d’une ardeur incontrôlable. Elle est un volcan de désir, les joues rouges d’envie. De gêne peut-être un peu aussi.
Vous vous pressez l’une contre l’autre à mesure que vos lèvres s’accrochent et se découvrent. Tu sens ses seins tendre le tissu de sa combinaison. Et les mains de ta voisine descendent ta colonne vertébrale pour envelopper doucement tes fesses, et presser davantage ton bassin contre elle. Il fait tellement chaud ! Au bout de quelques instants, collée contre elle, vous transpirez toutes les deux abondamment, ôtant frénétiquement vos vêtements pour rafraîchir vos corps et attiser votre désir. Tu enfouis tes lèvres dans le creux de son cou, et du bout des doigts tu suis cette sueur pour partir à la découverte du corps d’Émilie : ses bras, sa nuque, le long de ...
... son dos, jusqu’au creux de ses fesses… Partout, tu sens ce corps moite que tu ne peux te lasser de parcourir. Peu à peu, une odeur grisante et voluptueuse emplit tes narines. Un mélange enivrant de savon, de crème et de transpiration. Un parfum délicat dans la nuque, qui devient enivrant quand tu descends vers ses aisselles.
Alors que tous tes sens s’emplissent de la volupté de ce corps, chaque geste d’Émilie te parait d’une urgence insoupçonnée. Chaque mouvement ou caresse est d’une intensité exceptionnelle. Elle te dévore des lèvres comme si tu étais la dernière amante avant sa mort prochaine. Elle se plaque contre toi, toute collante de transpiration, comme si elle voulait que vous ne vous sépariez jamais. Elle s’empare de tes mains pour qu’elles caressent ses seins, avec un regard de supplication absolu, comme si elle ne pouvait pas attendre une seconde de plus que tu la touches.
Émilie te pousse sur lit et tu te laisses aller à cette chaleur et à cette urgence. Vous entrelacez vos corps, enchevêtrez vos cheveux et vos cuisses, mélangeant vos sucs et vos odeurs. Tu es fascinée par la rondeur délicate de son corps. Elle se met à califourchon au-dessus de ta cuisse droite. Et elle te présente ses seins comme gonflés de désirs. Ce sont deux pures merveilles : fermes, lourds, avec deux tétons nacrés qui invitent au baiser. Elle soupire quand tu les frôles de la langue et halète quand tu les enveloppes de tes lèvres. Tu sens le désir s’emparer totalement de ce corps. Elle ...