Tes voisins
Datte: 30/03/2025,
Catégories:
ff,
ffh,
couple,
couplus,
candaul,
voisins,
grosseins,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
fdanus,
tutu,
couplea3,
Auteur: Moctezuma, Source: Revebebe
... ses fantasmes les plus intimes. Comme si en mettant ta lingerie elle faisait corps avec sa voisine. Elle tremblait d’inquiétude et peut-être de désir que tu le remarques. Elle perdait la tête devant la puissance des désirs inavouables qui s’emparaient de son corps. Il fallait qu’elle les partage avec Julien.
***
Un soir, elle installa confortablement Julien sur leur lit, puis entreprit de se déshabiller, sensuellement, avec lenteur. Jusqu’à lui montrer ce nouveau maillot qu’il n’avait jamais vu. Julien appréciait le spectacle de sa femme. Elle savait comment se déhancher et se pencher habilement pour lui montrer la douceur de ses cuisses, la profondeur de son décolleté, la rondeur de ses fesses. Alors, elle s’approcha de lui, remontant doucement son corps alangui, pour lui murmurer à l’oreille que ce maillot était en réalité le tien. Que ce soir, elle était F. Et qu’il fallait qu’il lui fasse tout ce qu’il rêvait de te faire. Émilie sentit bien au regard et à la vigueur du sexe de Julien que quelque chose était en train de se passer. Que son mari était tout troublé par ses paroles !
Alors elle poussa son avantage. Elle savait que pour eux tu étais la gentillesse incarnée. La douceur aussi, puisque tu t’occupais de leurs filles. Alors Émilie prenait un malin plaisir à utiliser des mots scabreux, presque scandaleux, pour décrire ce que Julien pourrait te faire. Et ainsi, sans que tu puisses t’en douter, se jouaient de l’autre côté de la cloison de ta chambre, des ...
... scènes de plus en plus torrides. Émilie masturbait son mari avec une énergie non feinte et une volupté manifeste avec le maillot volé.
Surtout, si tu avais tendu l’oreille, tu aurais pu entendre le monologue fiévreux d’Émilie. Une suite de chuchotements qu’elle n’osait pas prononcer à haute voix et qui trahissaient l’intensité d’un désir qui semblait contenu entièrement dans son regard de braise et dans la chaleur de sa voix grave qui murmurait :
— J’ai trop envie que tu me prennes ce soir en imaginant que c’est elle que tu baises… dans son ensemble rouge, qui ne cache rien du tout… Pense à elle, je suis cette belle salope de F., pour toi, mon Amour… Pense à ses deux beaux seins que t’as envie de peloter… Pense à sa petite chatte en feu quand elle te verra tout bandé pour la baiser… C’est elle qui est là nue, à côté de toi… Vas-y… Hmm ! vas-y, pense à elle… Tu prendras bientôt son corps de coquine et tu la baiseras devant moi, je te le promets… tu la mettras à quatre pattes et tu pourras me montrer comment elle te fait bander notre gentille voisine…
Émilie sentait progressivement son mari se transformer. Les lèvres de Julien, d’habitude si douces et attentives, devenaient gourmandes et voraces autour de ses seins. Ses gestes devenaient plus brusques. Et à chaque gémissement de son homme, elle sentait l’esprit de son mari s’envoler loin d’elle, pour chercher au fond de sa mémoire l’image la plus suggestive de sa voisine qu’il pouvait concevoir. Alors, Émilie aussi se ...