Hello Léo !
Datte: 29/03/2025,
Catégories:
fhh,
jeunes,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
hsodo,
uro,
coprolalie,
Auteur: imagine29, Source: Revebebe
... me dit Julia, mon chéri a le sens du partage. Quand je dis, partage, je ne parle pas de moi, mais du plaisir que l’on peut prendre ensemble tous les trois. Maintenant j’aimerais bien faire un bœuf avec vous, ça vous dit ?
<<<O>>>
Léo et Julia ont chanté« Bridge over Troubled Water » à deux voix. Léo à la guitare et moi aux claviers. Leurs voix s’accordaient super bien. Le plaisir de la musique avait à ce moment supplanté nos libidos. Je connaissais bien la voix de mon pote, mais celle de sa compagne m’envoutait, au point de me planter dans les accords. Ils ne m’en ont pas tenu rigueur. J’avais un peu perdu la main depuis que j’avais arrêté la musique.
Pour terminer la soirée Léo proposa d’aller se rafraîchir sur la plage pas loin de chez eux, cinq minutes de marche tout au plus. Il était hors de question de prendre la voiture. Il était près de minuit, le bord de mer était désert, Julia enleva ses chaussures pour prendre un bain de pieds.
— Elle est super bonne ! nous cria-t-elle. Venez me rejoindre.
— Avec nos jeans, on ne s’y risque pas !
— Enlevez-les, c’est l’heure du bain de minuit.
— Dans ce cas, dis-je, la tradition c’est à poil, non ?
— Ben oui, il faut respecter les coutumes, n’est-ce pas les gars ?
En quelques minutes nous fûmes mon pote et moi nus comme des vers.
— Et toi alors ? demandai-je à Julia, qui avait remonté sa robe très haut sur ses cuisses pour éviter de la mouiller.
— Moi, j’attends que mes chevaliers servants viennent m’enlever ...
... ma robe, ma petite culotte de coton et mon soutif.
— Dans l’eau, l’opération est risquée dit Léo, viens plutôt sur le sable.
Elle est revenue à la raison, en nous rejoignant sur le bord.
— Alors, qu’attendez-vous ? Déshabillez-moi. Que l’un de vous se charge de ma robe, et l’autre ma culotte et le soutif.
Léo a commencé. « Waouh » ! Qu’elle était belle la môme en petite culotte. Son corps de déesse, même dans le clair-obscur de la nuit, fit monter en moi des bouffées de désir. J’ai posé mes mains sur ses hanches en la regardant dans les yeux. Elle souriait très à l’aise dans cette situation équivoque. J’ai fait glisser le bout de tissu en le suivant dans sa descente jusqu’aux chevilles. Je me suis donc retrouvé accroupi devant elle, le nez à quelques centimètres de sa belle touffe brune, artistiquement taillée en forme de cœur. J’ai résisté, je me suis levé pour terminer ma tâche en dénudant ses seins. Jamais encore une fille ne m’avait troublé à ce point.
— Eh, Arsène ! réveille-toi, me lance Léo en riant. À trois, on court vers l’eau et on plonge.
— Le dernier à l’eau aura un gage dit la belle en se précipitant vers les premières vagues.
Le gage, c’était pour moi. L’eau n’était pas aussi froide que je l’avais craint. Nous avons batifolé comme des enfants, nous bousculant, nous attrapant, par les jambes, les bras, les fesses. J’ai senti plus d’une fois, une main me prenant la bite ou glissant dans la raie de mon cul, sans savoir si la caresse était féminine ...