1. Hello Léo !


    Datte: 29/03/2025, Catégories: fhh, jeunes, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral hsodo, uro, coprolalie, Auteur: imagine29, Source: Revebebe

    ... m’entourait de ses bras comme la passagère d’une moto puissante à son pilote. Je crus l’espace d’un instant qu’elle accompagnait seulement mes poussées en avant, mais je m’aperçus très vite que c’était elle qui propulsait mon ventre en avant. C’est Julia qui sodomisait Léo par l’intermédiaire de mon corps.
    
    Elle poussait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je ne pouvais que la suivre et lancer ma queue de plus en plus profond dans les fesses de mon ami. Julia me griffait la peau me mordillait le cou et me torturait les tétons.
    
    J’ai joui, le premier, Léo ne m’a pas suivi. Je suis resté planté en lui, laissant mon corps anéanti.
    
    — C’était comment Arsène ? me demanda Julia.
    — Merveilleusement inédit, j’étais en même temps le marteau et l’enclume. Mes fesses en sont toutes endolories.
    — Imagine que j’ai un instant eu l’idée de me harnacher de mon gode-ceinture. Je n’aurais pas hésité à ouvrir tes fesses et à pourfendre ton joli petit cul.
    — C’est une bonne idée ! Léo sortait de sa torpeur post-coït.
    — Pour ma part, j’aimerais faire une petite pause.
    — C’est facile à dire, tu es le seul à avoir joui. Je propose donc que tu t’allonges bien tranquillement. Je m’occupe du reste.
    
    Julia s’est mise en levrette en prenant ma bite toute molle entre ses lèvres. Léo quant à lui avait pris place à genoux derrière elle, le chibre bien raide.
    
    — Suce bien mon ami ma chérie, pendant que j’enfonce mon pieu entre tes fesses.
    — Pas dans le cul, s’il te plait, c’est ...
    ... dans ma chatte que j’ai envie de toi.
    — OK ma belle, je ne forcerai pas ta porte étroite, pour le moment.
    — Vas-y, maintenant baise-moi.
    
    Quand Léo s’enfonça en elle, je ressentis la secousse transmise par sa bouche tout le long de mon sexe. La coquine faisait en sorte de coordonner les coups de queue de son compagnon et la succion avide de mon gland. C’était phénoménal. Elle avait un talent certain pour la fellation. La bite tendre et molle qu’elle avait embouchée, durcissait sous l’action de ses doigts qui caressaient mes bourses et la raie de mon cul. Elle libéra sa bouche quelques secondes pour me demander :
    
    — Tu veux que je t’encule pendant la pipe, Arsène ?
    — Oui, mais mouille-moi bien d’abord.
    — Tiens mon pote, du jus de chatte tout chaud, dit Léo en retirant sa main des cuisses de sa belle.
    
    Il m’a barbouillé la raie et sa moitié en rajouta une couche en insistant sur mon anus.
    
    — Lèche mes doigts, ils ont le goût d’un savant mélange : celui de ma chatte, de ton sperme et du cul de mon homme.
    
    Elle avait à peine eu le temps de terminer sa phrase que Léo, secoué par un orgasme ravageur, la propulsa en avant. Lâchant ma queue devenue raide, elle s’affala sur moi de tout son long tétanisée par une jouissance à l’unisson.
    
    Quel ravissement, de sentir sa peau nue contre la mienne, son ventre contre le mien, ses seins s’écrasant sur ma poitrine. Quelques minutes passèrent, chacun jouissant avec gourmandise de cet instant magique, où les corps émergent peu à ...