1. Histoire Africaine 07


    Datte: 28/03/2025, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byGKCD, Source: Literotica

    ... chef baisse son pantalon, son sexe est au-delà de tout ce que j'ai pu imaginer.
    
    Il attrape mon épouse par les hanches, la pénètre. Elle émet un cri rauque, suivi de gémissements à mesure qu'il va et vient entre elle. Les hommes battent des mains pour marquer la cadence. Je me retrouve dans une autre dimension, en plein enfer. Anne gémit, pleure tour à tour. Le rythme des coups de reins s'accélère et c'est dans un tonnerre d'applaudissements que le chef éjacule dans le vagin de mon épouse.
    
    Il se retire en me jetant un regard triomphant, je ne peux m'empêcher de constater que son sexe reste érigé. Pour fêter cela et contribuer à la liesse générale, un autre insurgé me pisse dessus, je me reprends un ou deux coups de pieds qui me font saigner la lèvre inférieure. Les joyeux drilles se mettent à la recherche de nourriture et de boisson. Mon Anne n'ose pas me regarder. Elle est de toute évidence épuisée.
    
    Je suis emmené une grange, elle a été vidée de ses occupants pendant que j'étais inconscient. Je suis jeté dans une cage qui a servi à véhiculer des chiens. On m'attache à un anneau et on me laisse là le reste de la nuit. Je ne peux dormir, car les mutins font un vacarme épouvantable. De temps à autre, il me semble entendre Anne crier ou supplier. Je me demande si nous verrons le bout de la nuit.
    
    Le jour naissant me trouve toujours en vie.
    
    Attaché dans ma cage comme un animal. Je souffre de partout. Je ne peux me tenir debout, j'ai juste assez de place pour ...
    ... changer de côté ou me mettre à quatre pattes. Je pue, car les émeutiers m'ont pissé dessus, moi-même, j'ai dû uriner en dirigeant le jet vers l'extérieur, hors une partie est retombée dans la cage.
    
    Le calme règne? J'imagine que tout le monde cuve.
    
    J'ai faim et soif. Inutile de songer à m'évader, la grille métallique de ma cage est solide. La vie revient peu à peu dans la villa, qui n'est pas loin de la grange. Des cris et des rires recommencent à fuser, cependant je n'entends plus mon épouse. Était-elle encore en vie?
    
    Une journée et une nuit se passent sans qu'on vienne me chercher. Je me dis qu'ils vont me laisser crever de faim et de soif.
    
    Le surlendemain du jour où tout a basculé dans l'horreur. Je vois apparaître les deux adolescents dans la grange. Je crois à nouveau à la fin. Ils me font signe de me déshabiller, en me menaçant de leurs armes.
    
    Je m'exécute. Ils ont amené un tuyau d'arrosage, ils m'aspergent longuement en rigolant. Dans un sens, cela est bienvenu.
    
    Comme je crève de soif, je recueille le peu d'eau que je peux pour la boire. Ils ouvrent la cage dans laquelle je croupis maintenant depuis deux jours.
    
    Je suis amené dans le salon, je dois y entrer à quatre pattes, nu comme un ver, sous les quolibets des deux gamins ainsi qu'une demi-douzaine de soûlards en armes.
    
    Le chef est assis dans le fauteuil que j'occupe habituellement. Ma femme est allongée à ses pieds. Elle porte une nuisette noire et des bas auto-fixant qu'ils ont dû trouver en ...
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