1. Coralie


    Datte: 28/03/2025, Catégories: fffh, extracon, amour, pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... vous me retenez, hein ?
    — Promis. Laissez-vous aller sur l’eau comme sur votre lit après une dure journée, bien à plat sur le dos, je vous tiens les fesses, ce sont toujours elles qui tirent vers le bas… Voilà… comme ça… le dos bien rigide et bien plat… Parfait. Regardez mes mains, je ne vous tiens plus, vous flottez toute seule, formidable, vous faites la planche. Voyez, c’est bien de cela qu’il faut avoir conscience : l’eau vous porte. Nager, c’est juste ajouter quelques gestes pour avancer…
    
    C’est le moment qu’a choisi une vaguelette pour venir submerger les écoutilles de la jeune fille qui soudain panique, essaye de se remettre debout et boit une bonne tasse en s’agrippant à moi.
    
    — Là, là, là, calmez-vous, ce n’est rien du tout, juste une petit peu d’eau salée et ce n’est pas très bon, surtout dans le nez. Vous savez ce qu’on va faire ? On va recommencer, mais en regardant vers le large, comme ça vous verrez les petites vagues arriver et vous soulèverez un peu la tête. Mais en gardant le dos bien plat, OK ?
    — J’ai eu peur…
    — Il ne faut pas, je suis là.
    
    Eh bien, là, la main plaquée sur son tendre fessier, le pouce un peu baladeur dans sa raie, mais elle ne dit rien. Ce contact tendre me réchauffe et l’aiguille de mon « désiromètre » revient doucement au beau, malgré la température de l’eau. Elle tient bien toute seule, il est vrai que l’eau salée porte très bien. Je fais la planche à côté d’elle et lui prends la menotte.
    
    — Vous voyez, c’est comme si nous ...
    ... étions tous les deux côte à côte dans le même lit…
    — Je ne sais pas si ce serait très correct…
    — Tant que nous restons côte à côte… Bon, regardez comment je me redresse sans boire la tasse : je casse au niveau des hanches, mes fesses plongent et quand je sens que mes fesses sont à la verticale de ma tête je tends les jambes à nouveau, et voilà. À vous…
    
    J’en profite éhontément pour lui caresser les fesses de nouveau et, une fois debout, je laisse cette main en place. Elle ne proteste toujours pas.
    
    — Maintenant, ce qu’on va faire, c’est sentir comme l’eau porte aussi à la verticale, mais avec quelques mouvements des bras, des petits ronds, comme ça. Et vous voyez mes pieds qui ne touchent plus le fond ?
    — Oui…
    — Alors, faites comme moi, pas de grands mouvements, juste des petits cercles, et vous levez les pieds. Je vais regarder si vous le faites vraiment…
    
    Je me laisse couler et je mate son popotin potelé, ses cuisses épaisses, ses jambes courtes et ses pieds décollant du sol avec les orteils relevés, comme des jambes de bébé, mais ce qui me fascine surtout, c’est ce poil qui déborde du maillot et qui ondule au fil des mouvements d’eau. C’est d’un érotisme torride. Je bande vraiment, maintenant.
    
    — C’est très bien, dis-je en sortant la tête. Maintenant, on va s’habituer à avoir de l’eau dans les orifices, je veux dire les yeux, les oreilles, le nez et la bouche, de façon à ne pas paniquer quand on a de l’eau dedans. OK ?
    — D’accord…
    — Alors on va aller se faire ...
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