1. COLLECTION SALOPE. La bourge et les poivrots (2/2)


    Datte: 28/03/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Comment cela est-il possible, une Jaguar neuve dans les années 80 achetées 2 jours plus tôt, plus précisément commandé 15 jours plus tôt et récupéré le lundi tombant en panne, ça fait désordre.
    
    Si cela s’était passé sur le parking du club de tennis de Castel, la ville où nous habitons avec Gondrin mon mari directeur de la plus grande banque de cette ville, les conséquences auraient été moindres.
    
    J’aurais appelé Stevin, le gérant et professeur de tennis qui aurait appelé le concessionnaire, le directeur est un joueur du club et tout aurait été réglé en quelques minutes.
    
    Pour une voiture de ce prix, tomber en panne au bout de deux jours, ça aurait été un tel crime qu’en plus de leurs excuses, le directeur aurait été capable comme au temps des samouraïs de se faire hara-kiri.
    
    La malchance a voulu que l’impossible avec une telle voiture se produise le jour où j’allais rejoindre le baron de la Motte, mon amant fétichiste à ses heures.
    
    C’est une femme BCBG, presque entièrement nue, porte-jarretelle, bas résille et talons hauts, le tout recouvert de son vison doré qui se trouve contrainte d’entrer dans ce bistrot de campagne.
    
    Ils sont quatre, quatre paysans avec Lucien, le patron buvant ce qu’ils ont appelé du gros rouge qui tache.
    
    Avec Gondrin, sur notre table, que des grands crus de Bordeaux, rarement des grands bourgognes, sauf des vins de Pommard, de Gevrey-Chambertin et surtout les meilleurs millésimes du clos Vougeot.
    
    Ces cinq personnages dignes des ...
    ... héros de grands auteurs riches, en images, se rendent compte de ma nudité et commencent à m’entreprendre.
    
    Quatre bites de tout genre devant moi, non cinq, Lucien vient de sortir la sienne noueuse à souhait et me la met dans la main.
    
    Sans être forcée, je m’agenouille mon manteau traînant au sol montrant à tous, cette chatte épilée qui semble tant les fasciner.
    
    J’avance ma bouche, que la fête commence !
    
    Je commence à peine à sucer le patron du bistrot lorsqu’une verge vient me forcer la main.
    
    Je masturbe, je suce, je deviens chienne.
    
    Au départ, quand j’ai compris que j’allais y passer, j’étais un tantinet anxieuse, cinq hommes tous des brutes épaisses espérant me baiser, cinq bites pour moi toute seule.
    
    Je devrais prendre peur, mais la rudesse de ces hommes me ravis, depuis que je trompe Gondrin, lui qui baise la grosse pute du champ de foire.
    
    C’est grâce à Chantal mon amie, que je lui fais pousser des cornes rien qu’avec du beau linge, colonel, notaire ou autre professeur de tennis.
    
    Ici, dans ce trou du cul du monde, c’est une baise d’un autre temps que je commence à subir.
    
    Subir étant un grand mot, car c’est moi qui devance les volontés de ces cul-terreux. Avec les amies de ma classe sociale, lorsque nous prenons des petits fours au salon de thé de la place du marché, nous aimons les rabaisser autant que faire se peut.
    
    C’est le cas avec un dénommé Albert, qui vient de s'asseoir sur une chaise et qui m’attirant à lui m’aide à ôter mon vison qui ...
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