Renaissance de Catherine : partie 3. - Histoires de Sexe

Renaissance de Catherine : partie 3.

... trois et avec Claire on lui boufferait le cul pour aspirer le jus qui coulerait.

Après le nettoyage général de rigueur, je suçais encore mon bel Albert.

Je savais qu’il allait m’enculer directement ce qu’il fit sans ménagements. Dans cette position, je voyais une Alex sur le dos en train de se faire goder en double par une Claire impitoyable alors que mon chéri me démontait le cul en me pinçant les tétons au sang. J’étais sa plus grosse chienne, il le savait, je le savais, je ne m’en lassais jamais! Même si je commençais à apprécier de plus en plus ma condition de bisexuelle et d’adepte du bukkake.

Nous avions un deal que nous respections tous les trois même en acceptant de laisser entrer Alex dans notre cercle, je le voyais déjà comme ça à cette époque et j’avais raison puisqu’elle est toujours là plus belle que jamais, nous étions sur un nuage de toute façon.

Albert était l’homme parfait pour moi! J’étais- et suis toujours très amoureuse de lui en me le rendant bien.

Avenant, prévenant, doux et gentil, me baisant comme un Dieu et ayant réveillé chez moi mon état de salope, de bisexuelle accomplie et d’anale avertie.

J’en étais à plus aimer qu’il me prenne ainsi au détriment du vaginal. Ses fist étaient merveilleux.

Claire était mon autre grande histoire d’amour inattendue. Alex mon péché mignon, une sorte d’envie permanente, un désir qui venait de très loin de la lécher…

Je jouis encore et encore sans que lui ne sourcille ou débande. Alors ayant ...

... sorti sa grosse queue de mon derrière, je le pris par la main après qu’il arrêta les moteurs au milieu de rien pour descendre voir les autres.

Albert s’allongea sur une couchette et je commençais à lui répandre de l’huile de massage qui sentait bon les algues. Après avoir fait les épaules assise sur lui sans qu’il ne bouge ni même qu’il laisse ses mains douces et magiques me caresser.

J’en arrivais dans la zone du service trois pièces où je commençais à lui masser ses énormes couilles qui sans nul doute se remplissaient tout doucement, comme on roule des boulettes en sentant qu’elles enflaient de jus. Je lui massais la queue qui était dure comme un bout de bois, puis le gland en passant aux cuisses, aux jambes et aux pieds.

Il se retourna sur le ventre pour subir le même sort. Arrivée aux fesses, il écarta les cuisses et je lui saisis les bourses. Il se remit sur le dos en sachant que ça allait être ma fête.

Il me planta sur sa queue pour m’écarteler ma pauvre chatte qui de toute façon n’en pouvait plus puis coup classique, la sortit pour la caser dans mon petit trou qui commençait à ne plus en être un..Il m’avait sodomisée au moins une dizaine de fois et il n’était que 16 heures 30…

Je le chevauchais comme ça un bon moment alors qu’il me tenait par les hanches pendant que je ondulais du bassin avec sa grosse queue qui me labourait le cul comme j’aimais.

En même temps, il me claquait les seins, me pinçait les tétons en les vrillant. Il me faisait mal, j’adore ...