AGENT SPECIAL GWENAEL 9
Datte: 25/03/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: GwenaelBlondinet, Source: Hds
... moi.
Sentir ces deux mecs bien montés me pénétrer par tous mes orifices, j’en arrivais à me féliciter d’être une salope. Boris me sodomisait plus brutalement qu’Igor, à grands coups de reins utilisant son physique de géant pour maltraiter mon petit corps de fille, mais il estimait qu'il ne me défonçait pas encore assez fort à son goût et il me fit à nouveau changer de position. Allongée sur le dos, il me força à remonter complètement mes jambes contre ma poitrine, dans cette posture mes fesses étaient écartées au maximum et il pouvait s'enfoncer encore plus profondément dans mon ventre. Là, ce fut un festival, son énorme pieu entrait et ressortait presqu'entièrement de mon petit trou à un rythme fou, je feulais, couinais, criais, l'intensité de mes sensations faisant même couler quelques larmes sur mes joues, mais je parvenais encore à refouler l'orgasme qui montait en moi.
Boris savait comment vaincre cette résistance, il s'allongea et me fit venir sur lui, mes pieds en appui sur ses cuisses je m'assis et je m'emmanchais sur son mât. Dans un premier temps il me laissa imprimer mon propre rythme à sa pénétration, ce fut moi qui me déchaînais, je me lançais dans une chevauchée furieuse, jouant à exacerber mon désir. Boris ne me laissa pas atteindre le point de non-retour.
- Igor, baise-là en même temps, elle va s'en rappeler de son passage chez nous cette tapette.
- Nooonnn pas ça, svp, vous avez des queues trop grosses, vous allez me déchirez.
Igor, qui ...
... bandait de nouveau, sans s’occuper de mes plaintes et mes larmes, vint se placer contre mon dos entre mes fesses, pour investir mon petit trou, j’ai criée et pleurée à la limite de l’évanouissement, Boris se trouvait immobilisé sous mon corps secoué par les coups de boutoirs d’Igor, je sentais leurs tiges coulisser dans mon étroit fourreau à la cadence des allées et venues de plus en plus rapide labourant ma fente. Malgré la douleur que j’éprouvais, je le savais, l'orgasme n'était pas loin et il m'emporta dans un tourbillon de sensations.
- Ouiiii, ouiiiii, ça vient. Oooooh mon dieu c'est troooop bon, je jouis. Oh, quel pied. Ouiiiii.
Je n'en finissais pas de hurler, mes cris décuplaient l'ardeur de mes partenaires, s’enfonçant encore plus profondément dans ma rondelle explosé, je ne fus plus qu'un jouet dans leurs bras musclés, femelle soumise, impuissante, j'étais ballotée au gré de leurs mouvements, mon orifice coulissant sur les engins qui le perforaient, c’était un moment d'érotisme pur, brut, animal, bestial, j'éprouvais des sensations indescriptibles et je goûtais cet instant en feulant. Mes deux amants, quant à eux, atteignaient enfin le septième ciel, je sentis les deux tiges se gonfler, se contracter, trembler, et enfin de longs jets de foutre vinrent inonder ma caverne d’amour ouverte.
- Oh putain qu’est ce qu’on t’as mis dans la chatte ma salope.
- Tu m’étonnes mon pote, on lui a explosé la chatte, elle va pas pouvoir marcher normalement avant un bon ...