1. EVG Chez Gégé et dépucelage - 02


    Datte: 23/03/2025, Catégories: Transexuels Auteur: byAngelinaTG, Source: Literotica

    ... Je pourrais la baiser longtemps."
    
    Une fois que tous ont profité de moi, on me retourne de nouveau et m'attache à plat ventre à une des tables, les fesses en l'air face au comptoir.
    
    Ils en profitent pour me reclaquer les fesses, pas trop fort, mais néanmoins une bonne petite fessée, alternant avec des doigts dans mon derrière.
    
    Un doigt, puis deux doigts dans le fion, hop une claque, deux doigts, deux claques, puis trois doigts me fouillent le ventre, et encore des claques...
    
    Ils s'amusent à tour de rôle à venir me doigter, à me fouiller le trou à plusieurs doigts, pendant un moment. Je sens qu'ils me relèchent le trou de balle, alternant avec les doigts et les claques.
    
    Aidés du sperme qu'il y a dedans, de leurs léchages et de leurs allers-retours de plus en plus insistants et de plus en plus profonds, je sens régulièrement entrer et sortir quatre doigts regroupés.
    
    Ils poussent et je devine bien qu'ils aimeraient en mettre cinq, ces salauds...
    
    Mes fesses me brûlent, dehors et dedans, mais je ne dis rien, soumise et demandeuse.
    
    Je vois Gérard sortir de la cuisine, tenant un gros seau dans la main. Quand il arrive vers moi, je peux lire "Graisse de noix de Coco" sur le seau.
    
    Je sens qu'on me colle contre le trou du cul un objet plutôt froid et dur - on dirait du verre.
    
    Gérard me dit :
    
    - "Ecoute petite, tes amis sont tous partis, fatigués ou bourrés, ce qui n'est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans leurs boissons. Même ta ...
    ... greluche, tu vois, n'est pas revenue, elle a du s'endormir chez vous.
    
    Pendant que tu t'éclatais comme une bête, j'ai pris un paquet de photos, et tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n'étais pas consentante, vu tes cris de plaisir et l'ardeur mise à l'ouvrage.
    
    Comme tu nous suçais et redemandais à sucer, et comme tu ouvrais ton cul à nos bites!
    
    Alors on va continuer à s'amuser, puis on te ramènera chez toi, puisque ta pute n'est pas revenue.
    
    Mais tu as encore du temps devant toi.
    
    En plus de fermer ta gueule, tu viendras une fois par semaine nous vider nos couilles.
    
    N'oublie pas qu'on a fouillé ton sac à main, on sait où tu habites et où tu travailles - si tu ne veux pas que tous tes voisins et collègues voient les photos!"
    
    Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer.
    
    Pas très longtemps, car je sens de nouveau le truc pousser contre mon trou de balle.
    
    C'est le culot d'une bouteille de bière.
    
    Un des gaillard essaie de forcer, je crie, mais évidemment vu la grosseur du truc, ça ne rentre quand même pas comme ça.
    
    Gérard dit :
    
    - "Laisse, Victor, j'ai amené ce qu'il faut" en prenant le fameux seau de graisse de noix de coco.
    
    Il ouvre le couvercle, trempe sa main dedans et me badigeonne le cul, toute la raie fessière, avec l'épaisse graisse végétale qu'il a ramenée de sa cuisine. Le truc bien gras, mais évidemment grandement lubrifiant.
    
    Il me fourre quatre doigts dans le cul, force avec le ...