Histoires de jeunesses (I) - Histoires de Sexe

Histoires de jeunesses (I)

... Sophie et Pierre, comme d'habitude.

Gaëlle arrive à ce moment-là. Toute timide, dans son jean et son chemisier jaune cachés sous un blouson bleu, comme en fac. Elle complexe un peu avec sa petite poitrine, mais elle est si belle quand elle sourit...

Je suis Gaëlle de peu, on était dans le même train, elle ne m'avait simplement pas vu. Elle sourit et on échange des banalités sur le temps qu'il a fait.

Benoît arrive alors, accompagné d'une bouteille et d'une jolie blonde, Julie, qui vient d'arriver à la fac. Et ils ont aussi amené Isabelle et Marc, qui habitent près de chez Benoît.

Vivien arrive le dernier. Il vient muni de son sempiternel sac à dos, d'une bouteille de bière locale et d'une boite de gigembre confit. Comme d'habitude.

On s'installe dans le grand salon, et la discussion se fait, des groupes se forment et se déforment.

Benoît propose alors, pour briser la glace, et pour présenter chacun à la nouvelle venue, de faire un petit tour de table. Vivien propose alors, avec un sourire malin, de changer un petit peu le thème : il propose que chacun se décrive par sa première fois.

On a l'habitude de se raconter, et apparemment Julie n'est pas surprise du thème. Ben l'a bien informée !

Pierre ...

... et Sophie démarrent alors, expliquant que meilleurs amis depuis leurs 12 ans, ils ont grandi et évolué ensemble, jusqu'à arriver au moment opportun où ensemble, ils se sont regardé un film un peu chaud qui les a poussés à profiter sournoisement de l'absence des parents pour y aller.

Pierre et Sophie racontent tour à tour chacune de leurs étapes, quand ils se sont embrassés, enlacés, comment les mains ont commencé à se balader, puis comment les premiers gémissements, les T shirts ont alors volé...

Et c'est sur le canapé que Pierre tout bandant a accueilli Sophie qui récite la façon sensuelle dont elle s'est empalée sur le sexe dur de celui qui passait de meilleur ami à petit copain à ce moment-là. Les sensations quand ses lèvres ont caressé le bout, le corps du membre, puis comment elle s'est sentie remplie, pleine.

Reprenant la parole, Pierre relate les sensations de sa verge caressée par une cavité humide qui l'excitait alors au plus haut point.

Ils racontent la mise en place maladroite de la capote, l'excitation leur faisant s'y prendre à plusieurs fois pour se palcer, mais aussi au moment final leur montée de sensations nouvelles et fortes.

On les félicite pour leur histoire imagée et très sensuelle.