Equinoxe sextraordinaire
Datte: 19/03/2025,
Catégories:
fh,
fhhh,
grp,
couplus,
inconnu,
boitenuit,
danser,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
jeu,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
C’est bien connu, chacun a sa saison préférée. Certaines personnes aiment l’été, la chaleur, la nudité, le corps dans tous ses états. D’autres préfèrent l’hiver, les grosses doudounes, les coins de feu, les nuits câlines sous la couette. Quelques-unes se régalent du printemps, de ses couleurs timides, de ses hésitations entre le chaud et le froid. Plus rares sont celles et ceux qui apprécient vraiment l’automne.
Certes la nature est colorée comme à aucun autre moment de l’année. Mais ces atours ont un relent de séparation, d’adieux avec les beaux jours. Bref, l’automne porte en lui le ferment d’une déprime pré-hivernale à laquelle Malika, Gloria et Julia avaient décidé de s’opposer résolument en créant unClub de l’équinoxe d’automne.
Tout s’était décidé au cours d’une soirée entre filles, largement arrosée et dignement pimentée de confidences sur leurs vies respectives, leurs succès et leurs déceptions amoureuses voire sexuelles.
Elles choisirent d’emblée de fonder un club très sélect, avec pour objectif avoué une maximisation de plaisirs érotiques ancrée dans une confiance et une complicité absolue entre les membres. Par principe, le club ne serait composé que de femmes, une certaine fluidité de genre étant implicitement acceptée.
L’idée était de jouir au moins une fois l’an d’une liberté absolue de plaisir et d’abandon avec qui semblerait le ou la plus apte à partager quelques folies orgasmiques. Chaque année, des membres du club spécifiquement choisies et ...
... préparées pour cet office devraient vivre séparément un équinoxe d’automne aussi intense et voluptueux que possible, puis le raconter en détail la nuit suivante aux autres membres du club.
La participation aux réunions de l’équinoxe était obligatoire pour tous les membres. Chacune restait néanmoins libre de se donner ou non du plaisir en écoutant les récits des officiantes. La seule contrainte étant que, si plaisir il y avait, il serait ouvertement partagé au sein du groupe. Évidemment, tout ce qui se passait dans le groupe ne devait jamais sortir du groupe.
Conscientes de leurs responsabilités envers la planète – et friandes de défis érotiques sophistiqués –, les fondatrices fixèrent dans leurs statuts que le ou les orgasmes de l’équinoxe d’automne devraient être locaux, biodiversifiés et exogènes.
Locaux, pour éviter toute production inutile de CO2 par du tourisme sexuel. En cherchant bien, on trouve au coin de la rue, voire de la prochaine forêt, de quoi jouir aussi intensément qu’au bout du monde.
Biodiversifiés, pour favoriser la découverte de nouveaux horizons érotiques et d’inattendues combinaisons sensuelles.
Exogènes, essentiellement pour satisfaire leur goût pour les mots compliqués. Concrètement, cela signifiait que l’orgasme devait être partagé avec ou venir d’une ou plusieurs autres personnes. Un orgasme masturbatoire, même bien mis en scène, ne remplirait pas les conditions requises.
Après d’intenses discussions au cours de soirées pyjama ...