1. Maman, Juliette et Moi 03


    Datte: 19/03/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica

    ... à travers sa jungle. J'enfonçai ma langue dans son vagin ouvert et elle poussa un léger cri de surprise ou de joie.
    
    -- Tu n'es qu'un gros cochon, mais tu me donnes du plaisir.
    
    Je remarquai qu'elle avait utilisé les mêmes mots que Juliette et j'appréciai cela. Je me sentais comme un porc attiré par sa pâté et je léchai plus fort encore l'entrecuisse de ma mère de son clitoris jusqu'à son cul. J'hésitai moins qu'un instant puis goûtai aussi ce trou-là, petit, sombre avec sa peau plissée. J'entendis maman pousser un cri d'extase et insistai enfonçant autant que je le pouvais ma langue dans son anus.
    
    Elle semblait avoir perdu toute retenue et demanda à Juliette de lui coller son sexe sur la bouche. Ma sœur n'hésita pas. Elle se plaça à cheval sur les accoudoirs de fauteuil de maman, jupe relevée. Je ne voyais pas ce qui se passait au-dessus de moi, mais un fort bruit de mouillé, de léchouille, de succion me fit deviner combien maman s'empressait sur le con de ma sœur. Les deux femmes gémissaient, mais je distinguais parfaitement leurs deux chants d'amour. Tout à coup, ma mère appuya plus fort encore sur ma tête, me colla la ...
    ... bouche à son vagin et jouit longuement en criant son plaisir. Elle juta quelques gouttes d'urine elle aussi — était-ce là un réflexe génétique? — que j'avalai et se frotta encore contre mes lèvres. Puis ses mains me relâchèrent pour se poser sur le cul nu de Juliette et mieux se concentrer sur le plaisir qu'elle lui donnait.
    
    Je m'éloignai un peu pour profiter de la scène. J'avais le visage plein des sécrétions de ma mère et j'en étais fier. Face à moi, maman suçait Juliette avec avidité et lui écartait les fesses pour poser son index contre son petit trou. Quelque chose la retenait d'aller plus loin et ce fut moi qui lui demandai d'entrer. Elle poussa très lentement. Je vis l'anus sombre de ma sœur s'ouvrir doucement pour absorber d'un coup deux phalanges du doigt de maman. Au même moment, elle se cambra pour mieux coller son con à la bouche de sa mère et jouit bruyamment. Nous avions été très loin ce soir et nous nous quittâmes en nous remerciant, en nous souhaitant de bien dormir, mais sans évoquer ce qu'il s'était passé. Le lendemain matin, le petit déjeuner fut calme, oserais-je dire normal, comme dans n'importe quelle famille. 
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