1. Les Filles


    Datte: 17/03/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... longue. Elle le vamperait jusqu'à ce qu'il accepte sa proposition et c'est là que je devais intervenir, rentrant à l'improviste et découvrant mon amie à genoux en train de sucer papa. Bien sur nous imaginions qu'il nous supplierait de n'en rien dire à personne en commençant par ma mère et là, Sandrine devait faire sa proposition ultime pour que nous tenions notre langue, enfin, façon de dire.
    
    Je n'oublierai jamais cette scène de ma vie, ma meilleure amie à genoux devant mon père, sa tête allant d'avant en arrière, secouant sa chevelure blonde qu'elle avait nouée en nattes. Mon père affalé sur son fauteuil de bureau, les yeux clos, le pantalon sur les chevilles, la verge tendue qui disparaissait dans la bouche de Sandrine qui pompait, les joues creuses. J'approchais sur la pointe des pieds, sans bruit, retenant mon souffle, mes yeux rivés sur cette scène silencieuse où l'on n'entendait que le bruit de succion des lèvres de Sandrine qui entouraient la verge de mon père.
    
    C'est elle qui me vit la première du coin de l'œil. Elle me sourit la bouche pleine, et puis soudain, délaissant la bite de papa elle se tourna vers moi pour me dire, « Tu en veux un peu? »
    
    Papa ouvrit les yeux, sursauta, remonta précipitamment son pantalon en me regardant en roulant tes yeux effarés.
    
    _ Ce...Ce n'est pas ce que tu crois... Proféra-t-il d'un voix d'outre tombe.
    
    Sandrine agrippa le pantalon et le baissa avec autorité.
    
    _ Si ! C'est bien ce que tu vois, me dit elle, je suce ton ...
    ... père ! Tu en veux un peu?
    
    Mon père horrifié tenta de se dégager mais Sandrine tenait bien le pantalon.
    
    _ Approche me dit elle, viens avec moi on va partager.
    
    Je en sais pas ce qui me prit alors, je me précipitais à genoux à coté de Sandrine, fixant la verge de mon père qui se balançait à dix centimètres de mon nez.
    
    _ Va-y ! Murmura Sandrine, fais toi plaisir.
    
    Alors, mue par je ne sais quelle force, j'arrondis ma bouche et avançais pour cueillir le gland de papa entre mes lèvres. Je fermais les yeux, c'était doux et chaud, la verge avait encore le goût de la salive de mon amie mais bien vite un autre goût plus sauvage le remplaça. Je ne voulais penser à rien, je suçais la verge tendue, mon cerveau était vide, uniquement préoccupé par la bite qui palpitait dans ma bouche de façon de plus en plus violente. Ne sachant pas la raison de ces tressautements, je continuais à sucer papa jusqu'au tressaillement brutal d'un sexe terriblement dur qui cracha un flot de sperme qui jaillissait en saccades violentes. Je sursautais, revenais brutalement sur terre, je voulais reculer mais une main ferme me maintenait contre le pubis paternel et j'eus tout le mal du monde à déglutir le liquide épais et chaud qui, giclées après giclées, inondait ma bouche au point de presque m'étouffer. Je me débattis sentant ma gorge saturée, mon souffle coupé, je cherchais désespérément de l'air et finis par rejeter le sperme par le nez dans une quinte de toux qui n'en finissait plus. Je me passais ...
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