Perdu dans le désert
Datte: 16/03/2025,
Catégories:
fffh,
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copains,
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intermast,
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fantastiqu,
Humour
Auteur: antilope, Source: Revebebe
... plutôt faites pour quatre personnes. Nous avons plaisanté sur le fait qu’il valait mieux être serré pour avoir chaud, puis sur le fait qu’on allait me mettre au milieu pour réchauffer la tente… Parce que soi-disant, les hommes ont toujours chaud.
C’est là que ma femme Florence est intervenue en calmant tout le monde, et surtout moi. Elle avait visiblement l’intention de me reléguer à un bout de la tente, et de faire de son corps un rempart entre moi et les autres filles.
Après quelques« ah ? Dommage ! Je me serais bien collée à lui, moi… », la messe était dite.
Mais l’instant d’après, nous nous sommes aperçus que Florence s’était trompée de sac de couchage, elle avait pris celui d’été… Il n’était pas assez chaud pour les nuits dans le désert.
Après un« non mais, c’est mort ! Moi je ne dors pas là-dedans ! Je vais cailler ! », elle s’est tournée vers moi et mon énorme duvet en plumes de canard avec un air implorant.
La négociation a été dure, mais finalement j’ai accepté de prendre le duvet pourri et de laisser les plumes à ma femme, à condition de ne pas être sur les bords de la tente, beaucoup plus froids que le reste. Elle a accepté, non sans une pointe de suspicion… Avais-je d’autres intentions en tête ?
À la suite du couscous et du traditionnel feu du soir en compagnie des Touaregs qui encadraient le groupe, nous sommes allés nous coucher après une expédition « pipi » très problématique dans le désert, car il n’y a rien pour se cacher.
Une fois ...
... couchés, calés, serrés, et après avoir tous terminé de râler, la tente s’est apaisée.
J’étais collé à ma femme et ma voisine de droite… à moins que ce ne soit à gauche ? Qui était… heu… Farida, il me semble ? Enfin, je crois ! En tout cas, dans l’obscurité, je n’avais plus aucun moyen de vérifier.
Dans la tente flottait une odeur de sueur de femme qui me montait à la tête et m’empêchait de dormir. Je m’imaginais toutes sortes de choses qui pourraient se passer dans cette tente… et petit à petit, je visualisais… Farida commençait les hostilités en me recouvrant le visage de ses énormes seins, puis Marie prenait sa place et s’asseyait sur ma bouche avec ses fesses majestueuses pendant que Florence et Sabine se relayaient pour me sucer et que je promenais mes mains dans cette accumulation de chairs odorantes…
Je commençais à avoir une érection carabinée particulièrement gênante vu que les mains de mes voisines ne se trouvaient qu’à quelques centimètres de mon petit effronté, devenu incontrôlable…
Finalement, je n’avais pas particulièrement froid. Je gardais même les bras en dehors du sac de couchage. Nous étions si serrés que je ne savais pas où les mettre, de peur de les poser sur le corps de mes deux voisines.
Mais au bout de quelques heures, ma femme qui ne dormait visiblement pas non plus a plongé sa main dans mon sac de couchage, et la mise directement dans mon pyjama puis dans mon slip. Bizarre, j’étais persuadé qu’elle était de l’autre côté… Le contact de sa main ...