1. Georges et Claire


    Datte: 26/07/2019, Catégories: grp, fbi, hbi, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe jeu, portrait, Auteur: Bendé, Source: Revebebe

    ... finalement partais en costume les retrouver en rasant les murs.
    
    Mon cœur battait la chamade quand je frappais à la porte 158. Elle s’entrouvrit. Je poussais donc délicatement, entrais et refermais. Un « Viens vite » m’invita à poursuivre ma route. Claire se dirigeait vers moi, entièrement nue.
    
    — Tu as gardé ton costume, très bonne idée. Il était temps que tu arrives, je n’arrivais plus à tenir Georges qui bande déjà comme un fou et qui voulait commencer à me manger ! Regarde-le ! Quelle belle trique !
    
    Georges était debout, nu lui aussi, au milieu de la pièce, une grande chambre toutes lumières allumées richement décorée, mais d’une manière très agréable, pas trop clinquant. Il avait à la main une coupe de champagne qu’il leva en me regardant.
    
    Georges était très bel homme. Grand, svelte, très souple, agile. Une petite moustache coupait son visage très rieur. Cheveux noirs frisés. Poilu, mais sans plus des épaules carrées et, sous le verre de champagne, lui aussi pointé vers moi, un beau sexe assez court, noueux comme un cep de vigne et avec un gros gland tout rose.
    
    Claire était une femme d’une grande fraîcheur. Elle avait toujours une attitude entre une mère et une grande sœur. Elle était blonde à la française, châtain très clair si vous préférez, elle aussi très grande, un peu plus que moi. Ni fine ni grosse, de belles rondeurs là où il faut. Des fesses rondes, fermes et des seins magnifiques. Son torse en avant était prolongé par deux beaux fruits oblongs qui ...
    ... ne tombaient pas. Ils étaient naturels, j’en suis sûr, pas de ces choses qui ne vivent plus ! Ils avançaient au-devant d’elle, terminés par des tétons presque rouges et de petites aréoles ceinturées de petites proéminences comme des petits boutons. On aurait presque pu croire à de petites fraises qu’immanquablement on avait envie de goûter ! Son sexe, presque rasé, avait de grandes lèvres bien dessinées, proéminentes quand elle se tenait debout. Inutile de vous dire que je me délectais de son avancée vers moi d’un pas sûr et tranquille.
    
    Arrivée devant moi elle m’attrapa les mains, les leva en esquissant un petit pas de danse avec moi, me serra et frotta sa joue contre la mienne. Elle se plaça derrière moi.
    
    — Enlève tes chaussures, me murmura-t-elle à l’oreille en défaisant le bouton de mon pantalon.
    
    Une fois ouvert, elle le baissa sans autre forme de procès, emportant dans la foulée le caleçon, descendit jusqu’en bas et le tint fermement le temps que je dégage mes pieds. Les chaussettes subirent le même sort. Elle frotta son visage contre mes fesses, donna quelques coups de langue sur mon petit trou, et se releva.
    
    — Hum, ce petit duvet sur tes fesses… divin ! murmura-t-elle.
    — Georges, je te préviens que tu vas aimer ces fesses-là mon ami !
    
    Elle défit les boutons de ma veste, passa le T-shirt par-dessus mes épaules, j’étais moi aussi complètement nu, incapable de bouger. Elle se plaça sur mon côté droit, le ventre appuyant mon bras et me parcourut le corps en ...
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