1. Une petite vengeance féminine (1)


    Datte: 15/03/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    (Préambule : cette histoire se déroule il y a trois ans, avant un temps où le covid avait bouleversé les rapports humains).
    
    ******Voisines et devenues proches par la force des choses (la trentaine, mariées, mères d'un enfant, en activité professionnelle), Sophie et Amélie avaient l'habitude d'échanger sur des considérations pratiques (l'école, la garde de l'enfant, les vacances, la mode, l'activité de loisirs...) comme la plupart des jeunes femmes. Le conjoint revenait cependant de plus en plus dans les conversations, l'intimité aidant. Amélie, un jour de confidences, osa même cette question :- Assure-t-il, ton mec, ou pas ?
    
    Sophie, un peu embarrassée, finit par répondre "oui" mais son hésitation incita Amélie à enfoncer le clou :- Je ne sais pas toi mais moi, je ne peux pas rester une semaine sans faire l'amour au moins une fois. Sinon, je ne me sentirais plus femme.
    
    Sophie ne put empêcher de marquer son étonnement. Elle fut bien obligée d'avouer qu'elle était loin du compte. D'où la réplique d'Amélie :- Mais qu'est-ce qu'il fout ton mec ? Une jolie fille comme toi mérite mieux. Moi, quand j'ai envie, c'est direct la main dans le pantalon de monsieur. C'est ma façon de le mettre face à ses responsabilités.
    
    Sophie ne put s'empêcher d'éclater de rire. Elle adorait Amélie pour sa franchise, son côté nature, conforme à son physique un peu lourd, ses joues rondes et sa féminité très accentuée alors qu'elle même, filiforme, diaphane, aurait fait garçon manqué si son ...
    ... visage encadré de cheveux blonds coupés court et illuminé par des yeux azur n'avait été d'une rare pureté au point qu'elle aurait pu aisément servir de support publicitaire. La blonde mince et la châtaine ronde à queue de cheval ne s'en entendaient pas moins comme deux copines pas avares de confidences.
    
    Comparée à son amie, la libido de Sophie n'était pas aussi développée et elle s'en attristait. Si elle ne mettait pas le dimanche matin la main dans le pantalon de pyjama de son mari, rien ne se passait. Et encore, il ne fallait pas qu'il l'envoie bouler. Sophie avait fini par avoir un doute : et si Paul la trompait ? Elle s'en ouvrit à Amélie qui lui proposa de l'aider. Un week-end où Paul s'était excusé de ne pas être présent dans le domicile conjugal pour une raison professionnelle, Amélie, instruite par Sophie, lui fila le train en vélo. Ce qu'elle découvrit l'édifia : Paul entra dans une résidence et en ressortit accompagné d'une jeune fille, main dans la main. Il n'était pas besoin d'aller plus loin. Lorsqu'elle apprit son infortune, Sophie éclata en sanglots.
    
    - Tu sais ce qu'il te reste à faire, la consola Amélie. Lui rendre la pareille.
    
    Mais Sophie était trop secouée pour envisager cette riposte. Et elle tenait à ménager leur fille Ophélie. Elle prit sur elle, en attendant une franche explication avec Paul.
    
    Mais à peine trois jours plus tard, Amélie surgit chez elle, le feu aux joues.
    
    - Tu ne sais pas ce que je viens de découvrir en préparant une machine à ...
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