1. Souvenir d’un passage aux Bains d’Odessa


    Datte: 13/03/2025, Catégories: hh, hagé, inconnu, sauna, caresses, Oral hsodo, gay Auteur: bernar, Source: Revebebe

    Cet après-midi-là, j’avais décidé de me détendre au sauna et ce sont les Bains d’Odessa qui se sont trouvés le plus proche de l’endroit où je me trouvais.
    
    Passé la caisse et le vestiaire, c’est revêtu d’une serviette courte que je descendis un étage pour me doucher et me détendre une dizaine de minutes au sauna. Il devait être à peu près 14 h 30 et il n’y avait pas foule.
    
    Sorti du sauna, re-douche, et je suis parti à l’assaut des escaliers. Un petit tour des cabines du premier étage a révélé que je n’étais pas seul et j’ai poursuivi mon escalade jusqu’au deuxième étage.
    
    En haut de l’escalier, je tournai à gauche, vers le labyrinthe sombre dans lequel je m’avançais lentement.
    
    La silhouette plus claire de deux hommes s’embrassant semble-t-il fougueusement, empiétait sur le chemin, mais, en me frottant à eux, j’ai pu continuer vers les « glory-hole » et le fond du passage. Pas plus de monde. En retournant vers le palier, je me suis retrouvé face à une masse claire qui bloquait le passage. J’ai continué et j’ai senti des mains sur ma peau, sur ma poitrine, je me suis arrêté et ai aussi laissé partir mes mains à la découverte de ce corps inconnu. Les mains qui me palpaient se sont glissées vers mes cuisses et sont passées sous ma serviette qui j’ai aussitôt enlevé de mes hanches pour la jeter sur mon épaule.
    
    Une main sur mon ventre puis sur mon pubis, mon partenaire s’est positionné face à mon côté pour pouvoir, en même temps, me caresser les fesses. Cette main ne ...
    ... s’est pas attardée sur mes rondeurs et un doigt s’est glissé dans ma raie pour se poser sur mon petit trou qu’il a commencé à pénétrer. Je me laissais faire et il s’est positionné derrière moi, caressant ma raie culière de son sexe tendu.
    
    — Tu te fais prendre, m’a-t-il demandé ?
    
    Devant mon acquiescement, il m’a proposé de nous rendre dans une cabine pour y être plus à l’aise. Il s’est alors dirigé vers les cabines de l’étage et je l’y ai suivi.
    
    Une fois entrés, il a aussi ôté sa serviette et nous nous sommes retrouvés nus, face à face. Son sexe, que ma main a attrapé, m’a semblé être dans la moyenne basse des sexes masculins que j’avais eu l’occasion de connaître.
    
    — Tourne-toi, pose tes coudes sur la banquette et présente tes fesses, me dit-il.
    
    Un peu surpris par la tournure des choses, je m’attendais à un minimum de préliminaires, je m’exécutais quand même.
    
    Je l’ai entendu prendre un préservatif au distributeur, puis du gel lubrifiant sur ses doigts qu’il s’est empressé de poser sur ma rosette et d’en forcer le passage avec vigueur.
    
    La souplesse de mon sphincter a dû le satisfaire, car il a bien vite ôté ses doigts pour poser son gland œillet et peser dessus pour en forcer le passage, ce qui a été fait sans difficulté. Il m’a besogné quelques minutes en ponctuant ses assauts de quelques claques sur mes fesses, a cessé de remuer, s’est retiré de mon trou, a ôté sa capote et est venu faire coulisser son sexe dans ma raie avant de cracher sa liqueur sur mon ...
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