Août – Lapin rose et poney blanc
Datte: 11/03/2025,
Catégories:
f,
fh,
couleurs,
candaul,
inconnu,
grossexe,
boitenuit,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
préservati,
pénétratio,
jeu,
init,
revebebe,
preservati,
Auteur: Camille.R, Source: Revebebe
... cunnilingus prodigué par mon inconnu, tandis que Maxime tourne tranquillement les pages de son journal. Mes gémissements, eux, ne viennent pas de mon fantasme, je commence réellement à jouir. Sans véritable intention, mon mouvement s’attarde de plus en plus vers l’entrée de mon vagin. Les vibrations y déclenchent un appel. L’appel d’une invasion, d’un remplissage. Mon fantasme se plie à mon désir : l’inconnu s’allonge sur moi et me pénètre. Le vibromasseur me pénètre. Comme animé d’une volonté propre, il s’enfonce à moitié, ressort lentement. Son mouvement de retrait me tire un cri de plaisir. Il rentre, un peu plus loin, reste en place un moment. Il tourne sur lui-même, puis sort à nouveau. Lorsqu’il revient à l’intérieur, je monte le niveau des vibrations. Deux crans d’un coup. C’est parti, le plaisir irradie dans tout mon corps.
Je cadence des entrées et sorties, de plus en plus profondes, en laissant à chaque fois les ondes m’envahir un peu plus longtemps. Mon amant fantasmé s’active sur moi, en moi. Il me caresse les seins tout en me pilonnant. Je suis au bord de l’orgasme, quand, sans l’avoir vraiment prévu, j’enfonce le vibromasseur, un peu plus profond dans mon vagin, juste un peu plus, mais alors, les oreilles du lapin viennent au contact de mon clitoris. Tétanisée à l’instant. Je suis paralysée en tension, comme un imprudent qui vient de mettre les doigts dans la prise. Je pousse un cri de surprise autant que de jouissance. Je ne peux rien faire d’autre ...
... qu’appuyer un peu plus l’engin contre mon bouton qui frétille.
Tout mon vagin vibre, à l’unisson de la vibration de mon clitoris. Les sensations se multiplient l’une l’autre. Je suis coincée en mode orgasme. L’homme nu qui me pénètre, frémissant de tout son corps, jouit à n’en plus finir. Je crie de plaisir. C’est si fort que j’aie peur de mourir sur l’instant. Mais aucune force en moi ne peut lutter contre celle qui me fait me crisper sur le manche du vibromasseur. Ça ne peut pas finir, c’est trop bon. Je n’y crois pas, mais sur cette crête du plaisir, je sens encore une montée, un pic qui me tire un cri viscéral. Un autre pic, puis un autre. J’attends le suivant… quand il arrive, je le retiens longtemps, longtemps, mais dès que je sens qu’il faiblit, j’appuie sur le bouton-STOP. Je pousse un long râle. Je maintiens tout au fond de moi le sexe désormais inerte. Je respire comme si je venais de courir un cent mètres. L’engin encore en moi, je me tourne sur le côté, en chien de fusil. Je reprends mon souffle. J’adore cette sensation : après le plaisir – et quel plaisir ! –, garder en moi un sexe qui reste bandé. J’éprouve un sentiment de plénitude. Je me sens apaisée, exaucée. Il me faut longtemps avant de me décider à retirer mon amant mécanique. L’instant d’après, je m’endors.
Au matin, je m’éveille près de Maxime. Je dormais si profondément que je n’ai rien remarqué lorsqu’il est rentré de sa soirée. Je lui demande :
— Alors, c’était bien, hier soir ?
— Oui, ça s’est bien ...