Août – Lapin rose et poney blanc - Histoires de Sexe

Août – Lapin rose et poney blanc

... bien membré. Il était vraiment habile de ses doigts et de sa langue. Mais surtout, il savait se montrer attentionné, se consacrant entièrement au plaisir de sa partenaire – moi, en l’occurrence – avec juste le bon dosage de tendresse et de puissance. M’extirpant de ce souvenir, je réponds à Maxime :

— Oui, forcément, quand j’ai vu la taille de cette bite, j’ai pensé à celle d’Antoine. Mais bon, la comparaison s’arrête à peu près là. Parce que comme je t’ai déjà raconté, Antoine, c’était vraiment un bon coup : il savait s’en servir, lui, de sa grosse queue.

Après un moment, je reprends :

— Mais toi, tu en as retiré quoi, de la séance de ce soir ?
— J’étais très excité pendant toute la phase où tu as dragué le type, dans la boîte. Et puis j’ai adoré le moment où je vous ai vus arriver à la voiture. C’était une grosse émotion. Après, tu as ouvert son pantalon, et tu l’as sucé : je regardais dans le rétro extérieur de la voiture et voyais pas très bien. Mais j’ai quand même aperçu sa grosse bite, et je me suis dit que tu allais bien en profiter. Donc tu imagines que j’étais en attente d’une jouissance très forte de ta part. J’ai été un peu déçu qu’il te lèche pas comme tu aimes. Mais j’ai pensé que c’était pas grave, tu devais être impatiente qu’il te pénètre. J’ai eu à nouveau un gros coup d’émotion quand je t’ai tendu le préservatif. Après, quand vous étiez sur la banquette arrière, je vous distinguais à peine dans le rétro intérieur, même si je l’avais ajusté pour ...

... avoir le meilleur angle. Mais j’ai pas triché, je me suis jamais retourné. Et franchement, ne voir l’action que très partiellement, c’était au moins aussi excitant que si j’avais été là, face à vous. Je voyais surtout le haut de ton corps, tes seins qui ballottaient au rythme des coups de bite. Et en même temps, je sentais la voiture qui bougeait. Et puis je t’entendais gémir, en cadence. Tout ça, c’était vraiment bandant. Après, j’ai été un peu refroidi quand il a voulu te sodomiser.
— C’est bien qu’il ait pas insisté.
— Oui, mais quand même, c’était assez déplacé, à mon avis. Puis j’ai compris quand il a joui, que c’était trop tôt pour toi, et j’ai même eu peur que tu en restes là. Alors bon, je suis un peu déçu du résultat. Mais tu me dis que ça te fait plaisir de l’avoir fait, alors je suis vraiment heureux d’y avoir joué mon rôle.

Je réalise en cet instant combien il est bon de se sentir aimée à ce point. J’ai de chance d’avoir pour mari un homme à qui je peux tout raconter, mes histoires du passé comme mes désirs au présent. Vraiment tout. Je me love contre Maxime. Je jette un œil vers le bas de son corps. Comme je m’y attendais, il est partiellement en érection : le débriefing lui a fait se remémorer la scène.

Ma main descend le long de son torse et se dirige sans hésiter vers le sexe. Je passe ma main sur la bite, descends jusqu’aux couilles. Je le branle doucement, tout en l’embrassant dans le cou et sur le torse. Il bande et soupire, me serre contre lui. Je ...