Invités au mariage (2)
Datte: 25/07/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pauline&Marc, Source: Xstory
Je profite du vin d’honneur pour aller saluer la mère de la mariée. Elle porte une robe fourreau argentée à paillettes, sorte de kimono sans manche, descendant jusqu’à mi-cuisse. Presque à la soixantaine, elle a de très belles jambes, superbement galbées par des talons très fins. Du plus bel effet, sa robe met en valeur ses seins lourds par le simple jeu de décolleté des deux pans qui semblent maintenus uniquement par une ceinture. Un tour de cou en dentelle blanche est prolongé par un motif en losange qui plonge dans son envoûtant sillon. Nous sommes dans le parc et après un échange de banalités, je lui propose de nous promener un peu. Je lui dis que je suis désolé pour sa récente séparation et espère que ce n’est pas trop dur. Je lui propose d’ailleurs en rigolant à moitié de combler ses moments de solitude et joignant le geste à la parole, je me rapproche d’elle et la prends par la taille. Elle frémit légèrement, mais ne fait aucun geste pour se dégager.
D’un coup d’œil, je m’assure que nous sommes dans une zone suffisamment isolée pour pouvoir aller plus loin. Je sais que Pauline nous a suivis et se cache sûrement à proximité pour nous observer ou nous filmer, mais je ne parviens pas à la voir. Elle est une voyeuse très discrète, ce qui est parfait pour l’occasion. Je peux donc m’appliquer à séduire la mère de Stéphanie, la mariée. Tout en me serrant un peu plus contre elle, je lui avoue dans le creux de l’oreille que depuis tout petit déjà, elle me plaisait beaucoup ...
... et qu’elle est restée une femme charmante, pour ne pas dire délicieuse. Je vois ses joues se colorer, sans doute aidées par l’effet des quelques coupes qu’elle a déjà bu. Nous arrêtons de marcher et nous nous regardons dans les yeux. Je sens qu’elle cherche ses mots, comme pour ne pas céder trop vite.
Lorsqu’elle me répond que j’étais un petit garçon charmant et timide, mais que j’ai apparemment bien changé, je lui précise que maintenant, je suis toujours charmant, mais très coquin. Du tac au tac, elle me rappelle que ce n’est peut-être pas nouveau, puisque je l’avais surprise, presque nue, dans sa salle de bain. J’acquiesce et ajoutant que je suis resté très frustré depuis cette furtive évocation de la beauté, mais que peut-être ce soir, j’aurai la chance de pouvoir la contempler plus...
Elle murmure un « qui sait ? » avant que sa bouche ne vienne embrasser la mienne. Pris de court par son initiative, je reste immobile quelques instants, ses lèvres contre les miennes, nos langues entremêlées. Puis je reprends conscience et sens ses bras qui m’enlacent. Je la serre un peu plus fort contre moi et je ne tarde pas à sentir ses pointes durcir, à travers les tissus légers de nos vêtements. Mon défi est rempli, mais je serai inconvenant de laisser dans cet état de préexcitation cette superbe femme, objet de mes jeunes fantasmes. Mes mains s’activent maintenant, en caressant son dos, partant de ses épaules puis descendant doucement, soulignant ses hanches, puis ses fesses, que ...