1. Chambre 26: carrousel céleste


    Datte: 02/03/2025, Catégories: f, h, fh, fhhh, hplusag, extraoffre, hotel, boitenuit, voyage, voiture, autostop, telnet, Masturbation caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, jeu, zoo, Auteur: Nycthémère, Source: Revebebe

    ... elle me racontera tout.
    
    — En vérité, la rencontre, c’était la nuit passée ! J’ai quelques bousculades dans mon agenda intime ces temps.
    — Ah, quand même ! C’est pour ça que tu avais exclu de rester avec moi cette nuit ?
    — Oui. Mais je n’avais pas prévu…
    — Prévu quoi ?
    — Que la douceur de ta présence, de ta voix, de ta peau, la force rassurante de tes bras me guérirait si vite des séquelles de la nuit précédente.
    — Séquelles ? Tu me fais peur. Je ne vais plus savoir où poser mes mains pour ne pas réveiller de mauvaises sensations.
    — J’ai confiance en toi, et je sais faire la part des choses. De toute façon, ce que je sens de toi entre mes cuisses me redonne goût à la vie. Tu ne m’en veux pas si je donne libre cours à la pulsion qui monte entre mes reins ?
    
    Je la serre contre mon torse, une main sur son ventre, l’autre sur ses seins, et j’accompagne de mon corps les basculements de ses hanches.
    
    Ainsi enlacés, nous entrons dans un balancement de plus en plus ample, de moins en moins maîtrisé, comme le devient une transe sous le battement sourd des tambours.
    
    Célia se laisse progressivement emporter par un rythme puissant, désinhibant. Elle se caresse sur ma cuisse comme elle jouerait d’un instrument de plaisir. Elle guide mes mains sur tout son corps par des injonctions de plus en plus fortes. Elle les veut partout, elle veut des pincements, des griffures.
    
    — Lâche-toi, prends-moi, oui, plus fort, encore plus fort, fais-moi oublier ses mains, ses putains de ...
    ... mains. Oh pardon, pardon Vincent ! Bouscule-moi, retourne-moi, danse avec moi jusqu’à l’orgasme, extirpe de mon ventre ce qu’il y a déposé contre mon gré.
    
    Comme un bateau ivre et démâté, nous tanguons sur le lit, nous accrochant l’un à l’autre pour ne pas sombrer vraiment. Je lui fais subir tout ce qu’elle exige, jusqu’au paroxysme.
    
    Finalement, alors que j’étire sans ménagement les bouts de ses seins, pourtant si sensibles, et que je mords cruellement sa nuque, un fulgurant orgasme la submerge. Les jambes largement écartées, elle écrase sa vulve et son clito contre ma cuisse pour augmenter les sensations. Avant de se pencher à quatre pattes et de me tendre ses fesses, exigeant ma bouche et ma langue sur son intimissime orifice.
    
    Tout son corps est saisi de tremblements, de spasmes, de secousses formidables. Elle m’échappe, se débat comme un pantin contre quelque chose qui me dépasse.
    
    En vérité, je ne suis pas sûr que ce que j’entends sortir de sa gorge soit bien des râles et des gémissements de plaisir. Cela ressemble à s’y méprendre à des sanglots.
    
    Le froid que dégage soudain sa peau au moment où elle se laisser retomber sur le côté m’inquiète beaucoup plus. Tout comme la soudaine immobilité de son corps en position fœtale après la tempête orgasmique.
    
    Je la serre contre moi en espérant la réchauffer, lèche les larmes qui coulent sur son visage pour la rassurer. Je lui dis les mots tendres qui débordent de mon cœur. Mais elle reste comme inanimée, absente.
    
    Ce ...
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