1. Basculer à point nommé…


    Datte: 02/03/2025, Catégories: fhh, couleurs, Oral préservati, pénétratio, init, confession, totalsexe, couplea3, réflexion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... lentement, longtemps avec une résistance à forcer l’admiration. Toujours rivé à mes haches, ludique, il accélère, ralentit, joue avec moi, de mon corps, de mes réactions, de ma résistance. C’est nouveau pour moi, je découvre et ça me plaît. Sa queue n’est peut-être pas très grosse, mais elle est longue et le fond de mon vagin en sait quelque chose, c’est une sensation que je ne connais pas du tout, sauf peut-être avec des godes, mais pas avec une vraie bite.
    
    On dira ce qu’on voudra, mais une vraie queue, c’est quand même autre chose qu’un machin en latex. Sans doute parce qu’il y a un homme, un vrai, à l’autre bout…
    
    Je me laisse aller complètement, sous cette autre queue, offerte à ce nouvel homme. Une vague chaude monte en moi, je gémis, c’est si bon, si nouveau, si excitant. Tant pis si je donne l’impression de céder trop rapidement ! De ma bouche sortent divers petits cris que je ne contrôle pas :
    
    — Ah… ah… ah… ouiii… oh…
    
    La puissante vague gonfle implacablement, mon corps tremble, je continue à émettre des petits cris désarticulés :
    
    — Aaah… ah… oooh ! AAAH ! Oh…aaah !
    
    La vaste vague me submerge complètement, je jouis avec une intensité douloureuse, la tête totalement enfouie dans les coussins, ma croupe défoncée, avec des étoiles partout ! Totalement en roue libre, je me mets à crier mon plaisir :
    
    — Oooh ouiii ! Ouiiii !
    
    Ah oui, pour une première, c’est une réussite, une grande réussite ! J’avais un peu peur en venant ici, j’avais largement tort ...
    ... !
    
    Je m’affale sur le canapé, absente, ailleurs. Toujours secouée par les coups de boutoir de Daryl, j’entends vaguement les sons de jouissance qui sortent de sa bouche…
    
    Ailleurs, au chaud, si bien…
    
    Puis quand je réémerge de mon brouillard cotonneux, en remerciement, gourmande et conquise, je suce la bonne verge de Daryl, sans le préservatif… Je savoure cette queue, cette bite qui vient de me donner un plaisir inconnu, à la saveur interdite et inédite… Peu après, je peux savourer un sperme tiède, un peu poisseux, au goût légèrement âcre quand Daryl se vide intégralement dans ma bouche vorace qui ne demande que ça…
    
    Oui, je suis devenue vraiment libertine, une belle salope qui aime le sexe, une belle pute, comme la plupart des hommes nous aiment et nous veulent, mais sans toutefois avoir le courage de l’avouer et d’assumer.
    
    Sauf certains comme mon mari, je le vois dans ses yeux et dans son sourire, quand il me regarde avec fierté. Merci, mon bel amour, de m’avoir fait découvrir ce nouvel aspect de moi-même. Merci aussi de ne pas me juger.
    
    Et si j’ai franchi le pas, c’est aussi parce que mon initiateur a été bien choisi. Merci à lui aussi.
    
    Une petite parenthèse : par la suite, j’ai rencontré bien d’autres hommes, bien d’autres mâles, et à ma grande fierté, je représentais à leurs yeux une sorte de fantasme éveillé mais concret qu’ils pouvaient toucher des doigts, et pas que des doigts… Ce n’est peut-être pas très modeste de ma part mais c’est très valorisant ...
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