1. Basculer à point nommé…


    Datte: 02/03/2025, Catégories: fhh, couleurs, Oral préservati, pénétratio, init, confession, totalsexe, couplea3, réflexion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... cette assertion ? Calmement, je demande :
    
    — Je prends quelle pose ?
    — À genoux sur le canapé, comme tout à l’heure… dans la continuité…
    
    Je reprends la même pose que tout à l’heure quand Daryl m’a fait l’amour pour la première fois. Cette fois-ci, ce sera la deuxième, et, je suppose, pas la dernière fois, peut-être pas ce soir, mais je parie qu’il y aura d’autres fois. C’est étrange, je pense déjà aux autres séances…
    
    Cette fois-ci, j’accepte sans souci le long mandrin en moi, sans me poser de question, comme si j’en avais l’habitude depuis bien longtemps. Je dirais même que je le souhaitais à nouveau en moi, pour pouvoir en profiter encore et encore, pour l’apprivoiser, pour savoir jouer avec lui.
    
    Finalement, c’est si simple. Je comprends mieux pourquoi un certain nombre de femmes sont adultères. On se fait un monde avant, et puis finalement, c’est presque banal… enfin… banal… disons que c’est comme une lettre à la Poste… Ou pour faire plus moderne, une clé USB sur un ordi…
    
    Mon mari se positionne de l’autre côté du canapé et me présente sa verge que je connais si bien. J’ouvre la bouche pour accueillir cette autre colonne de chair. Me voici prise par deux hommes en même temps, c’est si facile, une fois de plus.
    
    C’est alors qu’une image vulgaire s’impose à mon esprit : embrochée devant et derrière, comme une grosse cochonne sur un tournebroche ! Franchement, quelle image je me mets en tête ! Mais ce n’est pas tout à fait faux : je commence à devenir une ...
    ... grosse cochonne, et ça me plaît bien. Mais je ne ferais pas ce genre de chose avec n’importe qui ! Je ne suis pas une pute !
    
    Du moins… pas encore…
    
    Quelque temps après, après diverses sucettes et va-et-vient très agréables, mes deux hommes échangent leur position : mon mari, se retrouvant derrière moi, en profite pour câliner du bout d’un doigt ma petite rondelle déjà bien entrouverte à cause de l’excitation. Devant, je goûte à ma propre cyprine, j’ai chaud, je brûle, ma tête tourne, je n’arrive pas à me retenir plus longtemps ! Alors je me laisse complètement aller, je glisse le long de cette pente vertigineuse, telle un immense toboggan vers l’enfer du septième ciel ! Dépassée par les événements qui sombrent sur moi, je suis secouée de spasmes, une vague dantesque me balaie comme un vulgaire fétu de paille, m’envoyant valser dans une jouissance démoniaque !
    
    Quand je réémerge, je reste avachie sur le canapé. À moitié endormie, j’entends les deux hommes discuter :
    
    — Belle réussite pour une première fois.
    — C’est indubitable, si je puis me permettre ce jeu de mots vaseux.
    — En tout cas, Vérane a fort bien passé le cap.
    — C’est vrai, une franche réussite !
    
    Puis leurs voix s’éloignent, je reste allongée, les yeux fermés. Puis un peu plus tard, je les entends à nouveau.
    
    — Je pense que c’est fini pour aujourd’hui, Vérane est HS. Il faut se mettre à sa place.
    — Nous avons bien profité, pas de souci. Dommage pour le sandwich, mais ce n’est que partie remise…
    — Bah, ...