1. Le cadeau


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fh, cadeau, inconnu, voisins, fépilée, revede, miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... pis. Écoutez, je n’ai pas l’habitude. Je porte d’habitude des sous-vêtements simples achetés en grande surface. J’aimerais un ensemble qui… me mette en valeur, vous voyez ? Je suppose que vous avez l’habitude.
    — Évidemment. Ce serait pour aller avec ce chemisier que vous portez ?
    — Oui, tout à fait.
    — Laissez-moi vous regarder. Vous avez une superbe poitrine, madame, nous allons la mettre en avant. J’ai une idée, mais… est-ce que vous cherchez quelque chose d’un peu coquin ou de plus sage ?
    — Je ne sais pas ce que vous entendez par coquin.
    — Eh bien, j’ai l’idée de bonnets qui tiennent bien les seins, mais qui laissent libres mes tétons et comme le chemisier est un peu transparent, c’est coquin. Vous voulez essayer ? Cela ne vous engage à rien.
    
    Sandrine se retrouve dans une cabine d’essayage avec un ensemble grenat plein de dentelles et un soutien-gorge qui effectivement, une fois bien installé, tient la poitrine en avant et laisse par un passage dans la dentelle voir les aréoles et les tétons. Elle se regarde encore, incrédule, dans le miroir quand la vendeuse la rejoint dans la cabine. Ses tétons sont dressés et elle est affreusement gênée, mais la dame ne paraît pas s’en apercevoir.
    
    — Vous voyez comme c’est coquin ? dit-elle en lui soupesant les seins pour vérifier qu’ils sont bien installés. Vous croyez qu’un amant peut résister à ça ?
    — C’est que… je n’ai jamais… Je ne sais pas.
    — Si, si, vous êtes une belle femme, il faut oser. Essayez aussi la ...
    ... culotte, vous verrez, elle va vous plaire. Il y a aussi dans l’ensemble un porte-jarretelles, vous le voulez ?
    — Je n’en ai jamais porté.
    — Alors il faut essayer. Je vous l’amène avec une paire de bas super fins. Noirs comme la jupe, roses comme le chemisier ou couleur chair ?
    — Je ne…
    — On va essayer noir, c’est plus classique. Mettez la culotte, je reviens.
    
    La culotte est juste à la taille de Sandrine, la dame a l’œil. Il y a un cœur transparent sur le devant et sa petite figue bien épilée est exposée comme un fruit mûr sur l’étal du marchand. La vendeuse entre évidemment à ce moment avec le porte-jarretelles.
    
    — Oh ! que cette minette est adorable ! Il y a un bonhomme qui ne va pas regretter son bon cadeau, c’est moi qui vous le dis.
    
    Sandrine n’est pas sûre d’être adorable. Elle trouve qu’elle ressemble à une vache de concours, avec ses gros pis, la graisse autour de sa taille et sa vulve rose offerte aux regards et elle ne sait pas encore si un bonhomme va finir par profiter de la vue. Mais elle refuse d’essayer un autre ensemble et demande à garder celui-là sur elle. Elle espère toujours qu’avant la fin de la journée, l’amant mystère se sera fait connaître. Elle pense aussi à Hervé qui ne lui a jamais acheté de la jolie lingerie. Elle se dit une fois de plus qu’elle s’était trompée en l’épousant.
    
    Dans la rue, elle épie tous les passants, mais aucun ne semble s’intéresser à elle. Pourtant, elle sent l’air frais sur ses cuisses et ses tétons n’arrêtent pas de ...
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