1. Le cadeau


    Datte: 28/02/2025, Catégories: fh, cadeau, inconnu, voisins, fépilée, revede, miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, rencontre, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... ravagé par les cernes. Mais elle peut réussir. Il suffit d’un peu de volonté. Subitement, elle a envie. Envie d’être belle, envie qu’on la regarde, envie qu’on la touche aussi et d’ailleurs, elle se touche et elle se regarde se toucher. Elle est mouillée, plus mouillée qu’elle ne se rappelle l’avoir jamais été. C’est bon d’avoir un doigt dans sa fente, de se sentir vivante, d’être là devant le miroir avec la soie qui frôle ses tétons qui durcissent. Ses cuisses sont trop épaisses. Elle devra refaire du sport, s’inscrire dans une salle, s’acheter une tenue. Peut-être que cet homme la suit partout, peut-être qu’il la suivra aussi dans la salle de sport, qu’il la verra transpirer dans son legging collant à ses cuisses et à ses fesses. Le doigt de Sandrine va et vient de plus en plus vite. Elle a fermé les yeux. Elle imagine son chef, Philippe, qui la regarde se masturber, et elle jouit, très fort. C’est si bon. Cela fait si longtemps que cela n’était pas arrivé.
    
    Elle se masturbe encore plus tard, dans son lit. Elle a décidé de dormir nue. Elle pense à son vieux voisin, imagine qu’elle l’invite chez elle et qu’elle lui sert le thé nue. Elle imagine la voix douce du vieux monsieur commentant ce qu’il voit et elle jouit à nouveau, comme une folle. Elle a eu un vibromasseur, à un moment donné, juste après le divorce. C’était un petit canard noir au bec rose qui vibrait silencieusement tout contre son clitoris. Il faudra qu’elle le retrouve, pense-t-elle en s’endormant. « À ...
    ... demain », a écrit son mystérieux correspondant.
    
    Au matin, elle passe plus d’une heure dans la salle de bains, elle se maquille et finalement s’habille. Elle n’hésite pas une seconde avant de revêtir le chemisier en soie sur une jupe noire qui lui arrive au-dessus du genou. Elle a même retrouvé des bas autofixants dans un tiroir de sa commode qu’elle n’avait pas ouvert depuis qu’elle vit seule. Elle porte des chaussures à talon, ce qu’elle ne fait jamais quand elle va travailler, c’est-à-dire, jamais.
    
    Dans les rues, elle se sent à la hauteur. S’il m’observe, pense-t-elle, il doit être si content. Au travail, elle se sent pleine d’énergie et curieusement, cela fonctionne. Elle est efficace et doit même aller voir Philippe dans son bureau pour lui demander une nouvelle tâche. Il la regarde avec intérêt, un fin sourire au coin des lèvres. Elle lui sourit elle aussi et même, elle lui fait un clin d’œil en sortant de son bureau. La journée passe vite. À un moment, elle se demande si elle ne va pas s’enfermer dans les toilettes pour se caresser. Elle en a envie, mais elle résiste, frotte ses cuisses soyeuses l’une contre l’autre et se demande si Philippe va lui dire quelque chose à la fin de la journée. Mais même en restant la dernière, son chef reste invisible. Elle prend l’ascenseur et rencontre le gardien qui semble l’attendre. Il la regarde passer en se frottant les mains avec un chiffon. « Jolies jambes » murmure-t-il sur son passage. Alors Sandrine saute sur l’occasion, se ...
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