Stage professionnel
Datte: 27/02/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
candaul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
extraconj,
Auteur: Descanso, Source: Revebebe
Je suis arrivée à l’âge que l’on appelle celui de l’épanouissement chez la femme : 42 ans. Je pense que je les porte bien : mon mètre soixante-dix, mes yeux bleus encadrés par mes cheveux blonds plaisent encore à mon Vincent qui voudrait que j’en joue beaucoup plus. En effet, je me concentre beaucoup sur mon travail aujourd’hui, mon statut d’épouse et les nombreuses années passées ensemble ont le paradoxe de m’inhiber avec lui.
En cette période de crise sanitaire où chacun est limité dans ces mouvements, il n’est pas évident de trouver des motifs légitimes pour voyager. Mon implication professionnelle vient d’être récompensée par une promotion que je dois valider par une formation de sept jours en Irlande ; même si on m’accorde le droit à ce voyage, je n’ai aucun moyen d’hébergement sur place. Frustrée de cette situation, une idée a germé dans mon esprit, un épisode somme toute « coquin » m’a fait me souvenir d’un contact possible dans ce pays : une rencontre exceptionnelle de 24 h qui avait déclenché bien des émotions. Mon cerveau a remonté à la surface Gerry, un homme mûr d’une élégance et d’un magnétisme quasi incontrôlable pour moi.
L’idée me paraît bonne et très sympathique mais je souhaiterais qu’elle soit partagée. Le soir au repas, je mets le sujet sur la table :
— Je n’ai vraiment pas de chance avec cette Crise sanitaire, dis-je.
— Ah bon, pourquoi dis-tu ça, chérie ?
— Pour une fois que l’on me propose une super promo, je dois la valider par un stage au ...
... siège en Irlande.
— Ben alors, fonce !!!
— Merci de ton enthousiasme, mais avec les conditions actuelles, aucun hôtel ne veut m’héberger.
Vincent saisit aussitôt son portable :
— As-tu tout essayé ?
Après quelques secondes de recherche, le verdict tombe :
— En effet, c’est quoi ce bordel ?
— Tu vois, je t’avais dit, bloquée par un virus ! Aucun hôtel ne m’accepte et je n’ai pas de famille chez les musiciens irlandais, ha ha !
— Oh mais…(silence…)
— Que t’arrive-t-il, chéri ?
— Une idée, mais je ne sais pas si… ?
— Ben, vas-y, tu as un oncle en Irlande ?
— Non, pas vraiment, mais il est possible qu’une personne – un souvenir – puisse t’aider.
Je rosis, Vincent prend ça pour de la gêne, alors que ce sont surtout les images dans ma tête.
— Je comprends que cela te surprenne, mais souviens-toi, Gerry est un homme tout ce qu’il y a de plus respectable, nous avons juste dépassé un peu nos limites sur quelques jours il y a un an, il n’y a pas de raison qu’il nous ait mal jugé ou qu’il en abuse…
Je saute sur l’occasion :
— La solution est surprenante, mais cela me permettra au moins de devenir chef de projet ! Eh oui, tu as raison, c’est un homme d’une grande qualité.
Je ne suis pas spécialement à l’aise dans mon approche, mais je sais que mon époux a toujours ses idées d’exhibition, de partage… il aime savoir que je plais. Quoiqu’il arrive, si je venais à le lui raconter, il n’en serait que récompensé.
Il cherche dans ses contacts, il appelle ! ...