1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. La fille de ma femme (1/1)


    Datte: 07/03/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... gagner alors je vais pimenter le jeu.
    
    • D’accord, si tu me cèdes le jour de tes dix-huit ans et que tu deviens ma maîtresse ici par ton dépucelage sur cette table, je louerais un appartement de trois pièces qui sera à ton nom.
    
    • Tu te fiches de moi, un trois-pièces.
    
    • Non, sérieux, tu peux même le visiter, il est dans un immeuble à deux kilomètres, extrêmement bien placés au centre-ville.
    
    • Et je peux le visiter.
    
    • Quand tu le veux, mais.
    
    • Je savais bien qu’il y aurait un, mais.
    
    • Bien sûr, pour ce prix-là, tu deviendras ma pute à qui j’enverrais des clients pour me rembourser de mon investissement, mais il sera à toi après cinq ans de soumissions de ta part, je te signerais devant mon notaire tous les papiers dans ce sens.
    
    • Je savais que tu étais un malade doublé d’un pourri, tu me fais honte.
    
    • Je sais, vas le dire à maman, tu sais ta petite maman que je baise tous les soirs.
    
    En plus, nous le meublerons ensemble à une seule condition, j’achèterai le lit où tu recevras tes clients.
    
    Un lit avec des barreaux, tes clients aimeront les menottes, demande-toi pourquoi quand j’ai épousé ta mère, nous avons changé mon lit.
    
    Elle quitte la pièce outrée.
    
    Pour l’appartement, tout est déjà réglé, je viens de l’acquérir et je m’apprêtais à le mettre dans mon lot de location, cela peut attendre, ses dix-huit ans sont si prêts.
    
    Qu’elle devienne ma maîtresse, même si c’est la femme de ma fille, je m’en fiche, la morale et moi cela fait deux, mais ...
    ... pour la pute qu’elle deviendrait ces justes pour pimenter le jeu et voire jusqu’où une jeune et jolie fille est capable d’aller pour un rapport substantiel au bout de cinq ans.
    
    Si elle cède, je me vois choisir le lit où nous batifolerons ensemble, il est vrai que j’adore attacher sa mère, mais elle aussi, c’est elle qui me les donnes chaque fois qu’elle veut se faire flageller par ma cravache.
    
    Les jours passent, régulièrement je lui rappelle ma proposition.
    
    J’essaye même de mettre le fruit dans le ver.
    
    Pardon, le ver dans le fruit.
    
    • Alors, tu as été visité ?
    
    Ce qu’elle ignore, c’est que le ver, je l’ai déjà mis.
    
    J’ai fait placer un panneau à louer sur le balcon avec le nom de l’agence qui gère mon parc de logements.
    
    La responsable et tous les employés ont la photo de Mélanie et ordre de ne faire visiter que la petite si elle demande à le voir.
    
    Je m’en suis sortie en leur disant que c’était mon cadeau fait pour la fille de ma femme pour ses dix-huit ans et qui souhaite acquérir son indépendance.
    
    Les choses vont se précipiter quelques jours avant ses 18 ans.
    
    Je sais depuis le matin qu’elle est bien venue visiter, sans bien sûr exprimer quoi que ce soit auprès de la responsable de l’agence qui lui a fait faire le tour du propriétaire.
    
    Mais surtout le soir ou lorsque Mélanie est entrée de la fac en disant à ma femme qu’elle avait échouée dans sa première année et qu’elle devait redoubler.
    
    Je me garde bien de me mêler de leur dispute, car ...