Daniel, le voisin de siège du bus.8. Le Week-end 2 - Histoires de Sexe

Daniel, le voisin de siège du bus.8. Le Week-end 2

... a raté, c'est tellement bon ! Arhhhhhhhhhhh ! Encore !".

Il m'assène plusieurs assauts, plus sauvages, je crie mon premier orgasme anal.

On entend:

"Oh, oh ! J'en connais un, qui se fait casser le cul !".

"Je pense aussi ! Mais continues de me lécher la bite, j'aime bien me faire sucer, après que j'ai éjaculé !".

"Je sais, et moi aussi, j'adore ça ! J'aime le gout de ton sperme !".

Ils ne baisent plus apparemment, Chris a dû jouir, enfin.

Daniel me regarde, je lui dis:

"Ne t'occupes pas d'eux ! Fais moi jouir encore !".

Il se dresse, droit sur ses jambes et fait balancer son bassin.

Son gros pieu me transperce inlassablement l'anus, je coule abondamment sur sa longue tige.

Je suis bien détendu analement, il entre et sort de mon cul, aisément.

A chaque sortie, mon anus est pris de spasmes et rejette du jus anal qui s'écrase au sol.

"Putain, ton cul me fascine, Pascal !".

"Arhhhhhhhhhhh ! Ta bite est exceptionnelle, aussi ! Arhhhhhhhhh !".

Il me procure plusieurs orgasmes, qui augmentent en intensité, contrôlés par son rythme retenu.

Il se retire, puis, va se placer sur le canapé et attend que je m'empale sur lui.

J'aime sentir sa main, guider son gros pieu vers mon orifice anal.

Il reprend sa place, aussitôt, au fond de moi.

Je prend les choses en main et coulisse lentement sur lui.

Je prend mon pied, en essayant de garder un œil sur ses réactions de plaisir, je ne veux pas gâcher son futur orgasme.

Je le vois ...

... se faire submerger progressivement, par le plaisir montant.

"Ahhhhhhhhh ! Pascal, ça monte doucement ! Ca va être énorme !".

J'ondule du bassin, tout en montant et m'empalant encore profondément sur son énorme manche.

Ses couilles sont trempées de jus anal.

On est si bien, en faisant l'amour ensemble, qu'on ne voit pas le temps passer.

Je ressens un bonheur immense en voyant l'expression de son visage, qui révèle qu'il va exploser enfin.

"Mon p'tit chat ! Mon amour, je vais jouir ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Je l'accompagne en m'empalant plus fort et plus profondément.

Je veux tout recevoir de son jus, en moi.

"Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je t'aime ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".

Je colle ma bouche à la sienne, pour jouir mon dernier orgasme avec lui, sans cesser mes enfoncements.

Il me serre puissamment, en se déversant, qu'est ce que j'aime jouir comme ça !

On a pas envie que cela se termine.

Pourtant le plaisir retombe très lentement, pour laisser place, à une tendresse extrême.

Nos mains se câlinent longuement, je me colle contre son torse.

Ses mots d'amour me font du bien, même si je n'ai pas le sentiment de les mériter.

Je lui fais part de mon plaisir:

"J'ai adoré ! J'ai envie de te dire que je t'aime, moi aussi, mais je sais que je ne t'aime pas comme Corinne, j'ai besoin de toi, mais pas comme elle !".

"C'est déjà ça ! Je sais que tu ne pourras jamais m'aimer comme tu ...