1. PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC


    Datte: 24/02/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SMART77, Source: Hds

    Bonjour à tous,
    
    Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes les frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de vous livrer pour son plus grand plaisir. Plus âgé de treize c’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bite sales !
    
    Aujourd’hui je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée sur les bancs de la fac.
    
    Noémie la renifleuse de queue à la FAC
    
    Partie 2
    
    PIPE ODORANTE DANS LES TOILETTES DE LA FAC
    
    À la fin des cours je me trouvais dans mon lieu de débauche favori comme à peu près tous les soirs. À part ceux que je pompais, personne ne se doutait que j’étais la petite suceuse de bite de la FAC. Il faisait chaud, mais à mon grand regret l’endroit ne sentait pas l’urine. Assise sur la lunette, la jupe en jean remonté sur mes cuisses, je caressai mon clito à travers mon string humide. Parfois, je reniflais mes doigts tout en pinçant mes tétons sous mon haut moulant mon 90B bien galbé. Je commençais à me demander si mon nouveau plan cul ne m’avait pas fait faux bon quand j’entendis la porte s’ouvrir. Les pas se dirigèrent directement vers ma cabine réservée aux handicapées que j’avais laissée entrouverte. Stéphane se tenait devant moi affichant sur son beau visage un sourire d’obsédé. Il ferma rapidement la porte alors que je m’empressai de poser mes mains sur sa braguette.
    
    – Ummm. Tu es ...
    ... déjà dur cochon. Je peux découvrir mon cadeau ? demandai-je d’un air ingénu.
    
    — Vas-y p’tite chienne fais toi plaisir.
    
    Je débouclai la ceinture et fis glisser la fermeture éclair avant de jeter mon nez sur son boxer.
    
    — Sniff… Ummm ça pu… je suis pressé de sentir le résultat de toute une journée de macération… hummmm. Sniff. Ah… trop bon…
    
    — J’ai pas pissé depuis le début d’après-midi, mais ça sentait déjà bien fort. Tu devrais bien te régaler ma petite cochonne.
    
    — On va voir ça, car j’adore renifler les bites bien puantes !
    
    Je tirai son caleçon et sa queue se tendit droit sur son nombril. L’odeur se propagea dans toute la pièce et ma chatte coula d’une cyprine brulante. Le prépuce laissait voir le bout du gland brillant et humide sur lequel je passai l’index avant de le porter sous mon nez.
    
    — Oh la vache ! Rien que comme ça, elle pue ! Et qu’est-ce qu’elle est belle, grosse, bien veinée, une bonne paire de couilles bien remplie que je vais me faire un plaisir de vider… Ummm. Tu as une queue parfaite, voyons ça de plus près.
    
    Je m’approchai doucement en fermant les paupières et décelait une odeur virulente, mais tellement excitante. Je glissai à peine le bout du nez sur sa hampe qu’elle tressauta sous mon passage.
    
    — Ummm. Snif snif. Ce qu’elle sent fort… Je kiffe ça. Plus ça sent fort plus je mouille.
    
    D’en haut le beau gosse de l’université avait vue sur mes yeux bleus de salope courant tout le long de son manche. Je lui envoyai un sourire vicieux en ...
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