1. Féérie royale au Cap d’Agde (2ème partie)


    Datte: 23/02/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    Le lendemain de la féérie royale par laquelle avait commencé notre deuxième séjour au sein du camp naturiste du Cap d’Agde Chrystèle s’était réveillée d’humeur plutôt joyeuse et avait profité de la terrasse sur mer pour regarder les nudistes s’éveiller : « Il y a vraiment deux populations, les "tout nus" en famille, souvent Néerlandais et Belges, et les libertins, français ou italiens », lui avait encore expliqué pendant la soirée notre hôte, qui possédait une superbe villa mais aussi pas mal d’appartements dont celui que nous louions. Un deux pièces de 30 m2 qui avait l’avantage d’avoir un balcon et la vue sur mer. « Si vous baisez sur le balcon s’il vous plait attendez la nuit. Il n’y a pas que des libertins », nous avait-il intimé.
    
    Et il est vrai qu’on voyait une toute autre population le soir. Déjà tout le monde était habillé mais surtout beaucoup étaient habillés de manière très sexy. Sans parler de quelques couples BDSM qui se promenaient elle ou lui en laisse. Pas très familial tout ça au contraire de toute la première partie de la plage que nous traversions pour retrouver, passé un restaurant, la plage coquine, la "baie des cochons" comme on l’appelait. Léopold était un peu contracté à l’idée d’y retrouver Christian. Christian avait été l’amant de Chrystèle l’année précédente et possédait un pouvoir quasi hypnotique sur elle. La quarantaine, très fort, très viril, il la fascinait et la pliait à ses quatre volontés. Quant à Chrystèle elle craignait que Christian ...
    ... révèle qu’elle l’avait rejoint pour un week-end très chaud dans sa propriété normande.
    
    Et Christian était bien là. Comme d’habitude entouré d’une petite cour d’amis qui comptaient sur lui pour les emmener dans de belles soirées. Il était là et les avait vus. « Vous êtes venus. Fantastique. Un an que j’attends de retrouver ma belle Chrystèle. » Il lui fit un petit signal de l’œil signe que leur secret serait bien gardé. Sur de lui il arborait ses muscles, un petit bide qui lui avait poussé et surtout un sexe à la taille déjà imposante au repos qui attirait l’œil de ces dames. Léopold aussi avait tiqué dessus. Une belle bite, bien veinée, puissante, qui ne demandait qu’à se réveiller.
    
    Les autres males autour de lui arboraient également de beaux engins. Une bande de quarantenaires qui se retrouvaient tous les ans dans le camp, sans leurs femmes, pour baiser de petites minettes auxquelles ils offraient la belle vie, champagne à gogo et longues baises.
    
    Quant aux maris de ces jeunettes, ils étaient souvent, comme Léopold, de tendres gars éduqués à respecter les moindres désirs de leurs femmes qui venaient au Cap pour trouver tout le contraire : le mâle dominant qui allait leur faire explorer leurs secrets et les mener à des orgasmes qu’étaient bien incapables de leur apporter leur compagnon. Léopold était typique de ces hommes. Bien élevé, bien foutu – 1 m 80, mince, un peu musclé – mais pas formidablement bien aidé par la nature au niveau de l’entrejambe. C’est dire s’il ne ...
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