La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1650)
Datte: 20/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... n’ai pas à le redire…- Bien Monsieur Daniel, excusez-moi.
- Suis-moi, espèce de bâtard
Je suivais donc ce type au torse massif, bien plus grand que moi d’une bonne tête, aux cheveux non peignés depuis longtemps et mal habillé. L’intérieur de la maison se révéla être en parfait accord avec son look : Sale et mal entretenu. Il m’amena directement dans une chambre assez sordide où le ménage devait très rarement être fait : Un lit défait et de vieux meubles en mauvais état occupaient la pièce jonchée par des vêtements. Les volets, fermés pour conserver un peu de fraîcheur, laissaient filtrer un peu de lumière. Le cœur battant très fort, je m’asseyais sur le bord du lit, bientôt rejoint par ce Daniel que je devinais d’emblée d’une grande perversité. Il m’allongea sur le dos, força une jambe entre les miennes pour les écarter et mit sa main sur mon sexe. Même si je trouvais que ça allait trop vite, car à peine étais-je arrivé qu’il m’aborde, je vibrais à ce contact direct et fermais les yeux, commençant à goûter des sensations merveilleuses. Je les rouvris quand je sentis son souffle sur mon visage, ses lèvres se rapprochaient de ma bouche entrouverte, ses doigts commençaient à me caresser le cou. À l'abri des regards, dans ce lieu plongé dans la pénombre, je savais pourquoi j’étais là, Pierre avait très été clair, sans équivoque : Je devais obéir à ce Daniel en toute chose…
- Pour commencer, je te veux comme amant… Donne-toi entièrement, je te veux comme une femelle ...
... salope peut se donner à un amant…
Alors ce double contact et ses mots m’embrasèrent : J’aurais dû être repoussé par ce visage laid et pas très propre, mais son contact m’excita grandement, lorsque sa langue pénétra dans ma bouche, je passais spontanément mes bras derrière mon dos en acte de soumission et je me laissais embrasser en silence. Profitant de sa position dominante, il me coucha sur le lit en, appuyant sur une de mes épaules et il s’allongea alors sur moi et me pelota de plus belle. Face à ce conquérant viril qui m’imposait sans difficulté sa volonté, un instinct que je ne soupçonnais pas me fit écarter et replier les jambes, dans la position de soumission et d'offrande d'une femme qui se donne à la copulation. Sous les coups de sa verge qui mimaient une scène d’amour, je m’abandonnais complètement.
Après de longs baisers fiévreux dans lequel nous nous mélangions sans aucune retenue, où je sentais son gros sexe dur se frotter contre le mien, il se leva pour se déshabiller, m’exigeant de faire la même chose, mais en gardant la tête baissée. Son torse nu était velu mais pâle, contrastant avec ses avant-bras bronzés par les travaux en pleine nature. Il était musclé mais son corps n’avait pas la beauté des athlètes : Dans l’ensemble, son physique n’était pas attirant. Il était grand et bedonnant, massif, et son torse large dégageait une certaine puissance. Je découvris soudain son vit, pas très long mais fort épais, redressé dans une jolie courbe vers le haut. Le gland ...