1. Femmes seules mais pas esseulées (4)


    Datte: 20/02/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... n'étaient des gravures de mode mais c'étaient des hommes faits, riches d'une vie peu ordinaire, et les deux femmes les prirent en vive sympathie.
    
    Et même un peu plus. Le fait qu'ils soient l'un et l'autre mariés, mais privés de femme, leur attribuèrent un potentiel sexuel qui ne pouvait pas laisser longtemps indifférentes Maud et Sandrine, elles-mêmes sevrées. Lorsqu'ils les invitèrent à dîner dans leur logement de fonction, elles acceptèrent dans le même élan, heureuses officiellement d'échapper à une nourriture chinoise qui commençait à les lasser. La perspective d'un steak frites arrosé de bordeaux les enthousiasma. Une fois revenues dans leur chambre afin de se préparer, elles trouvèrent vite un terrain d'entente. Comme Maud, Sandrine déplorait que son appétit sexuel n'eut pas été comblé depuis un bout de temps. Lorsqu'elle s'habilla d'une robe courte décolletée dans le dos et dégageant ses épaules, libérant ses seins menus de soutien-gorge, la grande blonde lâcha :- J'ai une envie de baiser, tu peux pas savoir. Tu crois qu'ils assurent, ces deux mecs ?
    
    - Je pense qu'ils ont autant envie de baiser que toi et moi. Je crois que ça va être notre fête. En tout cas, je l'espère.
    
    Maud opta pour un tee shirt moulant, également sans soutif, et un pantalon corsaire qui épousait étroitement ses fesses plates. Soigneusement maquillées, les deux femmes se rendirent au rendez-vous, chacune un préservatif dans leur sac, signe qu'elles avaient bien l'intention de passer à la ...
    ... casserole et qu'il fallait mettre toutes les chances de leur côté.
    
    Lorsqu'ils virent arriver les deux touristes affichant leur sexualité, les expatriés comprirent que d'heureuses perspectives s'offraient à eux, mais qu'ils avaient intérêt à être à la hauteur. Ni Maud ni Sandrine n'étaient de ces femmes qui font des manières. Leur maturité et leur statut de divorcées (qu'elles avaient énoncé) les faisaient appartenir aux yeux des deux hommes à la catégorie des "femmes qui baisent". C'est pourquoi le steak frites, qu'elles savourèrent dans une complicité pré érotique, préluda assez vite à ce que l'une et l'autre s'assoient sur les cuisses des deux expatriés alors qu'ils étaient encore à table. Elles s'étaient préalablement mises d'accord. Sandrine opterait pour Denis, Maud pour Frank.
    
    Si longtemps différé, le contact charnel, fut-ce par l'intermédiaire de vêtements, mit aussitôt les protagonistes en ébullition. Les bouches se trouvèrent avec voracité. Les mains tâtèrent ce qu'il y avait à tâter : des pointes de sein érigées, des pénis en érection. Ils gagnèrent la chambre aux lits jumeaux, laissant sur le trajet une robe, un tee shirt, deux pantalons d'homme, suite à des étapes de pelotage en reconnaissance. Maud et Sandrine s'empressèrent de se délester de leur slip une fois dans la chambre tandis que deux bites raidies de désir s'exposaient à leur regard, puis à leurs mains, puis à leur bouche gourmande. Et après des préliminaires vite expédiés, deux couples désormais ...