1. J’ai pervertie ma collègue, Le Japon -4-


    Datte: 25/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Dresser, Source: Hds

    ... J’ai été poussée dans cette pièce et la porte se ferme. Je mange, ce repas plutôt agréable au palet. Mes envies de sexe sont toujours présentes alors je décide de me masturber pour assouvir mon envie. Mes doigts caresse mon clitoris, entre dans mon sexe, je cherche à jouir. Je triture mes lèvres intimes, me pénètre pour assouvir l’envie de plaisir. Je termine par jouir, mais la sensation de manque d’un membre masculin en moi est toujours présent. Je crois que je me suis masturbé au moins deux fois de plus dans la nuit, à moitié dans le brouillard, entre mi sommeil et éveille. Le lendemain, la japonaise vient me chercher et me dirige vers une pièce ou je suis assise sur un matelas. Un homme apparait, me fixant et parlant à la femme qui me traduit en anglais, qui me traduit le minimum de mots, me laissant dans une certaine incompréhension. La femme me retire tous mes piercings. Je suis attaché par les bras en l’air à une chaine, mes pieds touchant juste le sol. Je reçois un coup de fouet sur les fesses, l’homme dans mon dos frappe sans se retenir. La femme compte à haute voie, me fixant droit dans les yeux. Entre chaque coup, le temps m’a paru interminable. J’ai reçu 30 coups sur les fesses et le dos. Ils m’ont posé une barre aux pied pour écarter mes jambes, les bras toujours tirés vers le haut. L’homme m’a posé une cloche sur chaque seins reliés à un boitier. J’ai sentis une vibration, une succion, une aspiration de mes seins, de mes tétons. Au début douce, mais très vite ...
    ... les choses se sont accélérées, commençant à ressentir une situation étrange, à la limite de la douleur. Ils me regardaient tous les deux. Ensuite l’homme m’a posé une cloche sur le sexe, actionnant une pompe, aspirant mes lèvres, je sens une dilatation de mon sexe, sans douleur, mais encore une fois une sensation étrange. Je suis resté comme cela je ne sais pas combien de temps. La fatigue se faisant sentir, l’homme à tirer vers le haut la chaîne, afin que je ne me fléchisse pas. Mes seins commencent à être douloureux, mon sexe gonflé me pique, tous les matins j’ai eu le droit au même traitement. Selon la japonaise je suis resté ainsi pas loin d’une heure trente. Ensuite j’ai été conduite dans ma cellule, le temps d’une pose. Après ma collation, j’ai été conduite dans une salle, allongé sur une table gynécologique. L’homme s’est empressé de réaliser un lavement anal. Je n’avais jamais réalisé cela. Il m’a remplie à plusieurs reprises, m’obligeant à conserver le liquide le plus longtemps, j’ai connu la honte et la douleur. N’ayant pas de repère, je ne sais pas combien de temps cet acte a duré, mais ils ont pris un plaisir à m’humilier de la sorte. Le soir, avant de m’enfermer pour la nuit, la femme est venue me poser un gode dans le fondement et me masser le sexe avec une crème afin de la rendre plus douce, certainement. Dans la nuit, j’ai été à demi réveillé par une vibration en moi, c’est le gode qui vibre. Au début doucement, puis les vibrations s’accélères. Forcément cela a ...