1. Les barrières tombent


    Datte: 18/02/2025, Catégories: f, h, fff, hh, grp, jeunes, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fdanus, jouet, confession, mast, Auteur: Ambre D'Anot, Source: Revebebe

    Il était tard, après le service du soir. Ils étaient tous les sept réunis dans le salon du troisième étage de ce grand hôtel de la Côte d’Azur, sous le toit. C’était leur lieu de décompression après le service. Ils y avaient aussi un coin cuisine, les douches, les toilettes et leurs chambres, tout pour être indépendants. Ils occupaient les banquettes et fauteuils en sirotant une boisson fraîche. Cela a commencé quand Nora, une brune de vingt-deux printemps a regardé Giulia la serveuse de la terrasse, et fini par lui dire :
    
    — Tu avais la patate, toi, aujourd’hui, une pile atomique de bonne humeur !
    — Tu ne crois pas si bien dire ! répliqua une petite blonde aux cheveux blonds mi-longs, dans un short en toile et un débardeur qui laisse de la place à une belle poitrine libre de toutes attaches. Mais tu sais, quand je commence la matinée par un bel orgasme, je suis cool toute la journée !
    — Bah, ça, c’est cash ! s’exclama Wendy.
    
    Puis elle ajouta en pouffant :
    
    — En fait, je trouve que tu as la patate quasiment tous les jours !
    
    Wendy se recala dans son fauteuil. Son petit accent irlandais avait fait mouche. Elle releva la mèche de sa belle chevelure rousse. Les autres s’étaient pendus aux lèvres des trois filles et attendaient la suite.
    
    — D’un autre côté, rétorqua Giulia, je me branle tous les matins, c’est trop bon ! Je ne peux pas m’en passer. Depuis l’internat, chaque matin quand je me réveille, je commence la journée par ça.
    
    Wendy n’abandonna pas. ...
    ... Sachant que Giulia n’était pas seule dans sa chambre, elle insinua :
    
    — Et Marie-Sophie ? Ça ne la dérange pas, tes solos matinaux ?
    — Mari-So, c’est une roupilleuse, rétorqua Giulia en regardant l’intéressée d’un regard rigolard. Tant que je ne prends pas ma douche, elle ne se réveille pas, donc… !
    
    Marie-Sophie, la douce Marie-Sophie, sortie de son écrin de famille bourgeoise, belle, mais semblant toujours fragile, s’agitait sur son coin de banquette en sirotant un coca. Elle semblait perturbée. Nora s’en aperçut et l’interrogea.
    
    — C’est vrai, Marie-So, que tu n’entends rien ?
    
    Frêle dans la simplicité de son t-shirt-leggins qui en faisait une femme enfant, Marie-Sophie sembla hésiter, puis de sa douce voix, elle avoua :
    
    — Si, en fait je l’entends tous les matins, mais je fais celle qui dort.
    — Et ça ne t’excite pas de l’entendre ? insista Wendy, intéressée ?
    — Ben… tiens ! En fait, je me retiens. Pour tout vous dire, j’attends qu’elle soit à la douche pour faire comme elle !
    — Sans blague, s’exclama Giulia. Mais tu aurais pu le dire, on l’aurait fait ensemble ! J’adore.
    
    Silencieuse jusque-là, Zoé s’était levée, bougeant avec agilité son énorme popotin jusqu’au frigo d’où elle sortit une bouteille de rhum arrangé qu’elle avait ramené de son dernier voyage chez elle, à la Réunion. Puis elle commença à servir et dit :
    
    — Toutes ces confidences méritent un petit remontant, vous ne trouvez pas ? Et puis, puisqu’on en est aux révélations personnelles, que nous ...
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