Roxane (6)
Datte: 17/02/2025,
Catégories:
fhhh,
amour,
fsoumise,
hdomine,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
baillon,
fouetfesse,
conte,
dominatio,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... d’engouffrer toute entière dans sa bouche une galette de pomme de terre.
— Il cuisine bien, mon fiancé, hein ! lança Roxane.
— C’est vous qui avez fait ces merveilles ! s’exclama Daniel et Albert confirma d’une révérence de la tête. Je suis d’accord ! C’est excellent ! On m’a toujours dit que les Anglais mangeaient mal. C’est totalement faux.
— C’est peut-être que parce que tu n’es pas en Angleterre ici, papa, mais en Écosse.
Albert soupira devant cette réplique mais ne la contra pas. Roxane et Albert accueillirent les préparateurs pour la fête. Le domaine se métamorphosa doucement, se remplissant de tables, de chaises, de tentes, de fontaines à champagne et de ballons.
L’hélicoptère fut obligé de se poser derrière, plus dans les hauteurs, tandis que Roxane se trouvait déjà entre les mains de la coiffeuse.
— Roxie ! hurla Isabelle en entrant dans la salle de bain transformée de salon de coiffure.
Roxane grimaça intérieurement mais se composa un sourire parfait.
— Maman ! Pile à l’heure ! Installe-toi ! lui proposa-t-elle en lui désignant le siège à côté d’elle.
La seconde coiffeuse commença à laver les cheveux d’Isabelle, qui, de son côté, se mit à raconter à sa fille toutes les merveilles que Ronald avait prévu pour elle, sa prévenance et comme il semblait deviner ses préférences, lui offrant toujours ce qu’elle préférait.
— Il m’a acheté des lys blancs ! s’extasia Isabelle. Il a dû faire trois fleuristes pour en trouver ! Nous sommes faits l’un ...
... pour l’autre !
Roxane sourit. Sa mère pensait-elle vraiment que Ronald devinait ses préférences ? Ne se doutait-elle vraiment pas que Roxane fut derrière tout ça ? Elle reconnaissait bien là la grande naïveté et le côté fleur bleue de sa mère.
Isabelle passa toute la coiffure et son maquillage à raconter sa journée. Roxane fut dégoûtée que les femmes s’occupant d’elles ne parlent pas le français, l’obligeant à être la seule interlocutrice disponible pour sa mère. Roxane passa ainsi deux heures à dire des « hunhun » et des « Oh » et des « Super ».
Enfin, la torture fut terminée. Roxane se leva pour rejoindre la chambre rose, transformée temporairement en salle d’habillage.
— Je viens t’aider à mettre ta robe ! proposa Isabelle.
— Non, maman, gronda Roxane. Ça sera une surprise pour toi aussi !
— S’il te plaît ! supplia Isabelle. C’est une robe de princesse, j’en suis certaine !
— Tu la découvriras comme tout le monde, sur le parvis de la mairie. Maintenant, maman, laisse-moi. Va te changer puis rejoins Ronald. Il faut partir plus tôt car la calèche va moins vite que les voitures. Dépêche-toi pour ne pas être en retard !
Isabelle grommela puis s’éloigna. Roxane soupira d’aise, faisant rire les coiffeuses et la maquilleuse qui accompagnèrent Roxane jusqu’à la pièce aux murs blancs remplie d’accessoires roses. Le tailleur, un homme d’une quarantaine d’années, se tenait là avec son apprenti.
— Bonjour madame Pool, salua l’artisan avec un fort accent écossais.
— ...