1. Mère et fille soumises au même Maître Chapitre 10 : En attendant Emma (3)


    Datte: 07/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Maitre-Guy, Source: Hds

    ... gratifiée.
    
    Ce fut tout à fait ça, même s'il a un peu peiné à faire entre ses deux mains dans mes deux trous. Une fois qu'elles ont été installées en moi, j'ai cru devenir folle : il en enfonçait une tandis qu'il retirait l'autre ou au contraire il faisait le même mouvement de pénétration puis de retrait, ma chatte coulait en abondance, jusqu'au moment où, bien enfoncé en moi, il a entrepris de se frotter les deux mains l'une contre l'autre, comme s'il se les lavait de chaque côté du petit morceau de chair qui les séparait. Mes sensations étaient indescriptibles : je gigotais malgré moi en faisant de vrais bonds de cabri, je hurlais comme une folle et surtout j'émettais en abondance toutes les liqueurs d'amour qui pouvaient sortir de mon corps.
    
    Au bout d'un moment, totalement épuisée, ouverte comme jamais de toute part, je me suis laissée tomber sur mon lit et je me suis endormie.
    
    Lorsque je suis revenue à moi, il m'a appris en souriant :
    
    - C'est parfait, Élodie, à partir de maintenant, jusqu'au retour d'Emma, tes trous seront pénétrés de cette façon ! Mais je vais quand même te mettre ma bite entre deux.
    
    J'ai souri. Il ne me voyait pas mon visage, puisque j'avais la tête appuyée sur mes avant-bras mais il s'en est douté. Il a d'ailleurs ajouté :
    
    — Ne te réjouis pas trop, c'est parce que je suis bon ! Si je n'arrosais pas tes intérieurs tous les jours en attendant le retour de ta fille, tu ferais une crise de manque.
    
    A partir de cet instant, ça a été ...
    ... effectivement de la folie jusqu'au retour de ma petite Emma.
    
    Les journées se déroulaient à peu près de la même manière : petit déjeuner de salope pour moi, avec le mélange de nos deux urines, défécation sous ses yeux, nettoyage approfondi de mon rectum, puis premier double fist de la journée.
    
    Ensuite, il se couchait et j'allais au travail. Certes, j'étais moins efficace qu'à l'habitude, mais après tout j'étais la patronne et personne ne me disait quoi que ce soit. Le midi, comme je n'avais pas le temps de rentrer, j'allais dans mes WC, je me mettais nue, ce qui m'était d'autant plus facile que, sur ses ordres, je ne portais aucun dessous sauf des bas autofixants puis je me masturbais jusqu'à jouissance. L'après-midi, je faisais mon travail puis je rentrais chez moi.
    
    À partir de ce moment, je me mettais nue et j'allais le retrouver dans ma chambre.
    
    Je me mettais en levrette sur mon lit et j'avais droit au second double fist de ma journée, qui me laissait souvent pantelante.
    
    Après, il variait les plaisirs, comme il m'avait appris : tantôt il était allongé sur le lit et je devais m'autoenculer puis sauter sur sa bite et le faire éjaculer dans mon rectum, tantôt je devais lui présenter mes deux trous ouverts, dans une position totalement obscène, en tenant mes chevilles dans les mains pour bien « dégager l'horizon » selon lui, parfois encore je suçais sa bite jusqu'à ce qu'il remplisse ma bouche de sa crème que j'avalais avec beaucoup de plaisir.
    
    Nous terminions ...