Élise libertine 53 L’accident 1/6 Ma libido prend le dessus
Datte: 16/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jacanas, Source: Hds
... l’heure et atterrissons à Orly à dix-sept heures. Monsieur Moreau m’accueille il m’embrasse prend ma valise et nous rejoignons sa voiture.
« Je te conduis à la Salpêtrière voir Alan et les médecins. Ensuite je te dépose à l’hôtel, une chambre t’est réservée pour deux jours Inès ma secrétaire cherche un meublé pour que tu puisses, si besoin, rester près de ton mari plus longtemps dans de bonne conditions »Moi : « Je te remercie de tout ce que tu fais, pour l’instant j’ai surtout hâte de le voir et de connaitre son état » A l’hôpital les soignants nous expliquent la situation : le pronostic vital n’est plus engagé, Alan est toujours dans le coma en soins intensif il a une plaie à la tête, fêlure des vertèbres L1 L2 avec une anomalie discale à surveiller il faut attendre la sortie du coma pour voir s’il y a des anomalies fonctionnelles.
Aux soins intensifs je découvre mon homme branché de toute part (respirateur, contrôleur des constantes, les perfusions…) il a le crâne enveloppé d’un bandage imposant, des hématomes sur le visage, le torse et les bras. Le bas de son corps est maintenu par un corset. Des larmes coulent sur mon visage à la vue de son corps meurtri.
Je l’embrasse sur la joue et lui tiens la main: « je t’aime chéri, je suis là, bats toi reviens vite. »A dix-neuf heures Gérard me conduit à l’hôtel, même si je n’ai pas très faim il reste diner avec moi avant de me laisser, il me donne le numéro de téléphone d’Ali le chauffeur qu’il met à ma disposition pour ...
... mes déplacements.
Le lendemain mardi vers 10h costume cravate Ali (1m75 type nord-africain) me dépose à l’hôpital et je lui demande de revenir me chercher à dix-huit heures. A mon arrivée l’infirmière me dit qu’Alan est sorti du coma, après de nouveaux examens rassurants il est sorti de soins intensifs elle me donne son numéro de chambre.
En entrant dans la chambre je vois mon chéri débarrassé de toutes les machines il ne reste que la perfusion, un bandage moins imposant qu’hier sur la tête et son corset. Il me sourit légèrement. Larmes aux yeux je me précipite sur lui et l’embrasse.
Moi « Mon chéri j’ai eu si peur, comment te sens tu ? Tu dois souffrir ! Comment ça s’est passé »Lui : « ça va, je suis un peu en compote mais ça va, dans quelques jours on n’en parlera plus. Un camion a déboité alors que j’étais à hauteur de sa cabine, il m’a projeté sur une voiture qui m’a percuté je suis parti en tonneaux le bruit et le trou noir je me suis réveillé ici dans la nuit »Moi : « et tes jambes ? Ça va »Lui : « pour l’instant je les sens à peine mais il faut attendre quelques jours pour voir, le neurochirurgien est optimiste, il ne voit pas de lésion irrémédiable il pense que ce n’est qu’une question de temps. Mais toi comment es-tu venu si vite? L’infirmière m’a dit que tu étais passée hier au soir. »Moi : « ta boite a été géniale, c’est un accident du travail, hier Moreau s’est occupé de me trouver un avion et m’a réservé une chambre pour deux nuits. Il m’attendait à Orly ...