Une soirée tant rêvée
Datte: 16/02/2025,
Catégories:
fhh,
couple,
extraoffre,
candaul,
copains,
voiture,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
couplea3,
Auteur: Motard, Source: Revebebe
Cette histoire est réelle, elle fait partie de ma vie et de mes expériences.
Elle avait vingt ans et j’en avais vingt-trois quand nous nous sommes rencontrés, en 1976. Elle était magnifique avec ses 1,60 m, ses 55 kg et de beaux cheveux noirs qui lui arrivaient en bas du dos, elle avait de plus un cul magnifique. Il était sûr pour moi que cela serait la femme de ma vie et la mère de nos futurs enfants. Nous étions saisonniers, l’hiver à Morzine et l’été à Cannes, d’où nos nombreux amis qui, comme nous, étaient dans la restauration. Notre vie sexuelle était, dirons-nous, normale… si évidemment la normalité existe. Pour moi, il me manquait toujours quelque chose… ce quelque chose qui vous procure une excitation au bas du ventre.
Les années passèrent ainsi avec leurs hauts et leurs bas. De notre union allaient naître deux garçons dans les années 1980. Nous étions donc un couple heureux et exerçant toujours le même métier. Nos amis restaient les mêmes, en particulier un qui s’appelait Gilles. Je savais qu’il avait le béguin pour mon épouse et j’avoue que la jalousie me tenaillait un peu, mais au fond de moi, cela m’excitait.
Je pense que mon épouse avait également une petite attirance pour lui, mais elle ne le montrait pas.
Lorsque nous faisions l’amour, souvent, je lui glissais à l’oreille qu’il y avait un autre homme avec nous, elle me disait d’arrêter mais cela ne m’empêchait pas de continuer. Je me mis donc en tête de provoquer les choses.
Côté physique, elle ...
... n’avait pas changé, ses deux grossesses n’avaient pas altéré sa taille, et ses fesses toujours aussi rebondies me donnaient toujours autant de plaisir. Comme je travaillais avec notre ami, je lui proposais une sortie avec Monique, chose qu’il accepta volontiers pendant notre jour de congé. Nous fîmes donc garder nos deux chères têtes blondes par notre voisine de palier, mon épouse, elle, se prépara sans se douter de mes intentions… je n’avais pas osé lui en parler.
Elle avait mis une jupe tout à fait convenable ainsi qu’un chemisier, rien de provocant pour une sortie entre amis. Le taxi arriva, nous étions à une petite demi-heure du resto mais, avec la circulation de Nice, cela mit plus de temps. Mon épouse était entre nous deux, je mis ma main sur son genou, chose courante, et je ne fis rien de plus jusqu’à notre destination.
Le repas fut bon et agréable et l’alcool aida Monique à se détendre un peu plus. Le repas fini, nous reprîmes notre taxi pour rentrer à la maison. De nouveau, elle se retrouva entre nous deux, comme à l’accoutumée, je mis ma main sur son genou. Alors que le chauffeur se débrouillait dans la circulation, je tentai de descendre ma main plus à l’intérieur de ses cuisses, qu’elle resserra immédiatement, m’empêchant d’aller plus loin et me regardant d’un air disant que nous n’étions pas seuls. Gilles, pendant ce temps-là, regardait en coin et, alors que je tentais de remuer mes doigts, il vint frôler avec sa jambe la jambe de mon aimée. Elle se tourna ...