1. Miss Cata – Pendant


    Datte: 16/02/2025, Catégories: fh, jeunes, vacances, plage, caresses, intermast, Oral init, prememois, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... me parle pas de ça, j’essaye de ne pas y penser ! Je sais que, dans quelques jours, il faudra qu’on se sépare. Mais moi, je n’ai pas envie que ça se termine comme ça ! Je… j’ai envie qu’on continue à se voir, toi et moi. Et puis cinquante kilomètres, c’est pas la mer à boire.
    
    Ainsi, Justine semble vouloir que ça dépasse une simple amourette de vacances. Pour ma part, je ne suis pas contre. J’aurais préféré que nous habitions plus près l’un de l’autre. Et puis, avec le retour à la vie normale, est-ce que notre relation tiendra ? Je ne sais pas, mais si nous n’essayons pas, nous ne le saurons pas.
    
    — Oui, je suis d’accord avec toi, ce n’est pas la mer à boire. Moi aussi, je n’ai pas du tout envie que ça s’arrête, toi et moi. Je suis trop bien avec toi.
    
    Elle me regarde avec des yeux brillants :
    
    — Tu penses vraiment ce que tu dis ?
    — Justine ! Depuis toutes ces années, tu ne devrais même plus poser la question ! J’ai pour habitude de dire ce que je pense, même si je ne suis pas toujours diplomate, je le reconnais ! Tu me l’as assez reproché durant toutes ces années !
    
    Elle continue de me regarder avec ses yeux tout brillants :
    
    — Et pourquoi, tu… tu veux continuer ?
    — Parce que tu es ma chieuse adorée et je suis ton connard préféré. Ai-je bien résumé la situation ?
    
    Se blottissant fortement contre moi, elle se met à rire !
    
    — Oui, mon gros connard debad boy !
    — Ton gros connard debad boy va te prouver qu’il mérite bien son titre !
    — Ah oui ? Et ...
    ... comment ?
    
    Voulant changer de conversation et pour oublier un avenir moins ensoleillé, assez égoïstement, j’avoue une fantaisie facile à assouvir, puisque déjà assouvie auparavant :
    
    — J’ai envie d’éjaculer sur tes beaux lolos !
    — Voyez-vous ça !
    
    Quelques minutes plus tard, momentanément épuisé, j’ai l’immense plaisir de contempler mon sperme luisant sur les seins dénudés de ma petite amie. Ses tétons érigés sont tout empoissés, quelques rigoles descendent sur le côté. Oui, c’est un beau spectacle !
    
    — Halala ! Tu m’en as foutu partout ! T’avais encore tant de réserves ?
    — Avec toi, j’ai toutes les réserves du monde !
    
    Elle commence à s’essuyer, aidée d’un rouleau d’essuie-tout :
    
    — Gros mytho ! Mais j’aime bien que tu me prouves que tu me désires !
    — Ah ça ! Pour te désirer, je te désire, sois-en certaine !
    
    Ayant presque tout enlevé, me fixant droit dans les yeux, elle devient plus sérieuse :
    
    — Tu me désires, ça, je le sais. Mais… est-ce que tu m’aimes ?
    
    Je la regarde à mon tour :
    
    — Comme déjà dit : tu es ma chieuse adorée et je suis ton connard préféré.
    — Ça, c’est une pirouette, Boris.
    
    Je deviens moi aussi plus sérieux :
    
    — Puisque tu veux tout savoir, je vais te le dire, mais ne te plains pas si je manque de diplomatie ou de romantisme…
    — Oh, depuis le temps, je commence à te connaître, tu sais…
    — La vérité est que j’ai du mal à concevoir de ne plus te voir, que j’aime quand tu es près de moi, même quand tu dis et que tu fais souvent des ...