La Promotion de Sophie
Datte: 14/02/2025,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byMaitrePol, Source: Literotica
... incapable de trouver le sommeil.
Sophie..........
La journée avait été longue mais heureusement l'heure était venue de rentrer chez moi. Le cartier dans lequel je travaillais n'était pas reconnu dangereux mais la marche que je devais faire pour me rendre au métro m'effrayait chaque soir mais ce soir particulièrement car une bande noir me suivait depuis la sortie du bureau.
Voyant l'enseigne de la station de métro, j'accéléré le pas afin de me mettre à l'abri.
La gang de noirs : « Oui! Salope c'est ça rentre dans le métro, on va être bien pour se faire sucer, grouille toi le cul salope on n'a pas toute la nuit. »
J'étais effrayée, ces voyous se rapprochaient de moi, j'avais beau accélérer mais je n'arrivais pas à les semer. Je paniquais, je réalisé qu'entrer dans le métro n'était pas une si bonne idée, le couloir était mal éclairé j'avais peur qu'ils m'agressent avant d'être en sécurité dans le wagon.
Coup de chance, juste devant la station un restaurant était t encore ouvert.
Sans perdre de temps je m'enligné vers celui-ci. Je n'avais pas fait deux pas que l'on me tira en arrière, brusquement je fus redirigé vers la station de métro. Les noirs : « Non! Non! Chienne ton maitre t'attend, on va te mener à lui. » Ces sales vauriens commençaient à être agressifs, je recevais des claques sur les fesses me forçant à aller dans la direction qu'ils voulaient. De temps en temps une main se glissait sous ma jupe et me tripotait le cul. Heureusement le métro fit ...
... son entré dans la station en même temps que moi et les noirs. Je fis un sprint pour entrer dans un wagon mais une main m'agrippa par les cheveux.
Un noir : « Pas si vite salope, pas celui-là, ton maitre t'attend dans le dernier wagon. Vient lui montrer ton respect, on a une petite réjouissance juste pour toi et tu ne l'oublieras pas de sitôt. »
Mon cuir chevelu me faisait atrocement mal, alors pour atténuer la douleur je me laissé guider par mes bourreaux croyant à tort que les gens dans le wagon me viendraient en aide. Les gens semblaient médusés par le traitement qui m'était infligé mais personne ne leva le petit doigt pour me secourir. J'avais à peine cessé de me débattre qu'un noir me lia les poignets au poteau un autre me tripota le derrière avant de m'administrer une fessée. Odieusement, on me pinça et étira les tétons, comble d'infamie ils se mirent à durcir au grand plaisir du voyou. Sa vanité fut satisfaite en constatant l'humidité de ma culotte. D'un geste brutal, il l'arracha et glissa deux doigts dans ma chatte poisseuse.
Dès ce moment toutes repousses n'auraient d'impact sur l'évolution de mes tourments, j'étais perdu depuis le moment où mes tétons avaient durcit sous les durs pincements. Le long carême sexuel des dernières semaines présentait sa facture et ce soir je devrais l'acquitter.
Tout près du crime, un adonis qui filmait ma déchéance s'empara d'une jeune fille et la força brutalement à prendre soin de son mât d'ébène. Les contractions dans ma ...