Brûlante mère au foyer
Datte: 13/02/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... d'attendre la sortie de l'école. Il conclut qu'elle se masturbait, était archi disponible sexuellement, prête à basculer dans l'adultère. Mais il ne fallait peut-être pas brûler les étapes, bien qu'il ait très envie de voir son cul à l'air. Elle voulut le payer pour sa prestation informatique. Il refusa. Il lui dit simplement :
- Si vous avez encore besoin de moi, vous savez où me trouver.
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Il se demanda où cette histoire pouvait le mener. A l'évidence, Célia était une gourmande frustrée mais irait-elle pour autant jusqu'à aller à l'adultère ? La manière avec laquelle elle l'avait pompé... et avalé pouvait laisser supposer que oui. Kléber était fier de son pénis, rigide, épais, bien décalotté lors de ses puissantes érections, aussi sexué qu'une paire de seins lourds chez une femme. Il avait réjoui bien des partenaires et il ne voyait pas pourquoi celle-ci ne cèderait pas à son attrait d'une manière encore plus concrète.
Et pourtant, pendant plusieurs jours, Célia ne se manifesta pas. Il commençait à se dire que son coup était fichu lorsqu'elle se pointa à nouveau à son magasin, toujours vêtue de sa combinaison-short. Elle n'avait pas cette fois de demande particulière, sauf une, qu'elle exprima ainsi :
- Je suis libre pendant la pause déjeuner. Il fait beau et si ça vous dit, on pourrait faire un tour à la campagne. J'ai ma voiture.
C'était une invitation pour le moins directe, à laquelle il était difficile de renoncer. Il alla trouver un collègue ...
... qui comprit la situation et accepta de le remplacer au pied levé. Et dix minutes plus tard, il se trouvait sur le siège passager en train de mater les cuisses découvertes, légèrement écartées, comme une promesse, de Célia. Elle savait où elle allait. Ils se garèrent dans un chemin jouxtant un petit bois et donnant sur un grand champ. Ils n'avaient pas échangé trois mots dans le trajet, tout à la tension érotique qui planait dans l'habitacle. Sa voiture était un monospace. Elle en sortit, ouvrit la cinquième porte, baissa sans façon sa tunique short dont elle émergea nue, s'assit sur le coffre pour ôter ses sandales et se posa sur ses coudes avec un air de défi.
- Déshabille-toi et embrasse moi, lui dit-elle.
Devant le spectacle de cette femelle juteuse, offerte, indécente, il triquait comme un dingue. Il lui accorda un long baiser pendant qu'elle s'emparait de sa queue pour le branler. Il était rarement entré aussi vite dans le vif du sujet alors qu'elle s'était fait si longtemps désirer. Il avait une furieuse envie de la pénétrer, sa chatte était gluante sous ses doigts et après avoir fourragé dans son sac pour lui trouver une capote, signe d'une incontestable préméditation, elle la lui posa délicatement en roulant bien le bord vers le bas comme pour apprécier la base épaisse du pénis. Puis elle se plaça au bord du coffre, les jambes en dehors, logées dans les bras de Kléber. Il la prit debout, d'une seule poussée rectiligne, très profondément et il cogna. Dur. Le ...