1. Un désir d’enfant


    Datte: 12/02/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    Je me tenais devant le grand miroir de ma chambre. Mes yeux suivaient la coulée de mèches rousses qui cascadait en larges boucles sur mes épaules. Les plus longues mèches touchaient mes seins, caressant légèrement ma tendre pâleur. Mes mamelons étaient dressés vers le haut et légèrement vers l'extérieur, les aréoles rougeâtres, assorties à mes cheveux, faisaient paraître ma peau encore plus blafarde.
    
    Deux très grandes mains noires empaumaient mes seins, leurs doigts roulaient mes mamelons sensibles. Le noir de jais de cette peau renforçait ma pâleur. Les paumes des mains d’Abdoul étaient rugueuses, des mains de travailleur. Cette rugosité et la force de ses mains me faisaient chavirer de désir.
    
    C’était un homme d'une force et d'une stature exceptionnelle. Cette pensée échauffait mes sens. Mon regard rencontra le sien dans le miroir. Un contraste parfait. Pas seulement la couleur de peau, mais la stature, lui si grand et si longiligne, alors que je suis tout le contraire.
    
    Mon cœur battait la chamade. Abdoul me dominait de la tête et des épaules. Il planait au-dessus de moi en pressant son corps sec et musclé contre mon dos. Nous étions tous deux entièrement nus. Je pouvais sentir son énorme et empressé phallus grandir tout contre moi.
    
    Ma main se glissa derrière moi à la rencontre de cet énorme organe de reproduction. Gigantesque. Plus gros que mon poignet. Sa surface était parcourue de veines. Bien que son membre soit dressé et raide comme un os, sa surface était ...
    ... douce et sensuelle.
    
    Juste pour me convaincre que c'était vraiment son organe viril que je caressais et pas son poignet, j'ai laissé courir mes doigts de son gland circoncis jusqu’à sa base. J'ai trouvé ses testicules si grosses que ma main ne pouvait en soupeser qu'une à la fois.
    
    Ma main parcourait cette hampe monumentale en la pressant amoureusement. Ma caresse lui inspira un grognement d’approbation. Mon vagin s'humidifiait dans l'attente de l’accueillir.
    
    Il me fit pivoter pour lui faire face, et je m’enivrais dans son baiser profond. Ses bras caressants enlaçaient mon corps sensible, tandis que sa langue charnue prenait possession de ma bouche. La fièvre de l’attente me faisait chavirer. Abdoul me souleva doucement et me déposa sur le lit.
    
    Mes jambes étaient maintenant largement écartées. Je cambrais mes reins afin de mieux l’accueillir, prenant appui avec mes talons sur ses fesses musclées tandis qu’il s'apprêtait à me pénétrer. J'aimais imaginer que je l'aidais et que je le guidais.
    
    Mais avec sa puissante musculature, cela ne faisait aucune différence si je l’attirais ou si je le repoussais. J'ai pris le gland massif dans ma main et je l'ai frotté le long des lèvres de mon vagin, puis sur mon clitoris.
    
    Une chaleur humide m’envahissait comme si c’était ma première fois. Il écarta ma main de son membre et s’introduisit directement en moi. Je lui appartenais. Dès son entrée, un ouragan de plaisir m'a terrassée.
    
    Il coulissait de plus en plus profondément ...
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