Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 6. Le neveu et la tante.
Datte: 12/02/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... renouvelez l'expérience, mais cette fois en connaissance de cause…
Pendant près de deux semaines, ils se tournent autour, essaient d’engager la conversation sur le sujet, se regardent en coin quand l’autre ne le voit pas. Je décide de passer à l’attaque.
-Quand vous aurez fini votre manège, vous me le direz ! Oui, toi Jeanne, tu as adoré te faire troncher par ton propre neveu et déguster par tous tes trous son braquemard. Et toi Jules, malgré ton pantalon de zouave, et je sais que tu ne portes rien dessous depuis quelque temps, rien que de la regarder, tu ne peux t’empêcher de bander, et même un borgne le verrait. Alors…
Je m’approche de Jules, défait le lacet et descend son pantalon. Sa bite pend entre ses cuisses et même au repos, elle supporte largement la comparaison avec celle de mes frères en pleine érection. Je la prends en main pour la soupeser et regarde sa mère de substitution.
-Alors Jeanne… Ce service trois pièces ne demande qu’à être utiliser. C’est comme l’argenterie, si tu ne veux pas que sa ternisse, il faut l’astiquer fort.
Nonchalamment, comme si c’était la chose la plus normale dans une famille lambda, ma main s’active sur ce pénis flasque. Je ne sais pas si c’est le trac d’être la bite à l’air dans la main de sa demi-sœur devant sa tante, mais il n’arrive pas à bander. Je demande du renfort à Jeanne.
-Le pôvre petit ! Il a besoin de l’aide de sa « maman » comme quand elle le lavait quand il était tout petit.
Je vais vers Jeanne, la ...
... prends par la main, la rapproche de son presque rejeton et dépose sa menotte sur la verge de Jules. L’organe aux deux fonctions prend aussitôt de la consistance, s’allonge, grossit, durcit et redevient le jonc massif de l’organe reproducteur masculin sous les yeux fiers et admiratifs de sa « maman ».
-Que c’est beau quand tu bandes Jules. Maintenant que je peux l’admirer en pleine lumière, je dois dire que tu as un sacré chibre. J’aime les grosses queues et j’étais déjà comblée avec ton père. Eh oui, excuse-moi mais j’ai couché avec mon beau-frère. Paul et Stan ont réveillé ma libido mais étaient loin de me combler sur le plan sexuel. Quand tu m’as prise l’autre jour, j’ai ressenti à nouveau la montée de l’orgasme irrépressible, que rien ne peut arrêter. Il est rare qu’un homme doté d’une aussi belle teub massive arrive à bander aussi dur, et le plus souvent il a les couilles paresseuses, mais toi !...
Je ne peux qu'approuver les dires de Jeanne. J'en ai vu des queues, comme dans la chanson de Pierre Perret, des petites, des grosses, des fermes, des molles, des crachouilleuses et d'autres plus généreuses. Mais comme vient de le constater Jeanne, il n'y a que le chibre de Jules qui coche les trois cases correspondantes à une bite d'exception. Pendant ce temps, Jeanne a pris en bouche le pénis de Jules et s'active comme une fille de joie taillant une pipe à son client. Pour ne pas jouer uniquement à la voyeuse, je viens me coller contre Jules et lui caresse le dos puis les ...