Les mystères de l'Asie (12) - Histoires de Sexe

Les mystères de l'Asie (12)

... sa femme en pleine caresse intime.

Il le vit porter sa main à sa queue, pour se branler, en matant sa femme se faire du bien. Bernard allait demander à sa femme de mettre fin à ses caresses intimes, mais une idée perverse lui traversa l’esprit, il se posa plusieurs questions :

— A quel point sa femme était une salope ?

— Accepterait-elle de baiser avec ce vieux pervers ?

— Quelles sont les limites de la perversion de sa femme ?

Mais Patricia avait complètement perdu pied sur la réalité, elle s’imaginait se faire prendre par la bonne bite de Laurent et sucer ses amis les uns après les autres, alors qu’elle s’enfonçait un deuxième doigt dans la chatte, sa main libre commença à glisser dans son haut de maillot de bain et ses doigts se mirent à caresser son téton qui était durci par son état d’excitation.

Bernard vit le vieux glisser sa main dans son short et se branler plus efficacement en regardant sa femme se fouiller la chatte en profondeur, et il la voyait maintenant se caresser les seins.

Mais le vieux n’était pas le seul à bander, Bernard bandait également bien dur, et toutes ses questions, toutes plus obscènes les unes que les autres, qui assaillaient son esprit, n’arrangeaient rien.

Sans comprendre ce qu’il lui prenait, il s’agenouilla derrière sa femme, et défit les nœuds des cordons qui tenaient le haut de son maillot de bain.

Patricia se retrouva les seins à l’air, mais elle ne réagit pas, si ce n’est qu’elle empoigna un de ses seins et fit ...

... rouler son téton entre son pouce et son index, lâchant des gémissements de plaisir, de plus en plus perceptibles par le vieux.

Ses doigts allaient et venaient de plus en plus vite, au fond de sa chatte.

Elle n’avait pas remarqué le vieux et l’intérêt qu’il lui portait, toujours perdue dans ses fantasmes, où elle se prenait toutes les bites des amis de Laurent, les unes après les autres.

Espérant ne pas troubler l’état d’excitation de sa femme, Bernard tenta de la faire s’allonger sur la serviette, sans dire un mot.

Patricia avait fermé les yeux, depuis un moment, elle imagina que ses amants l’allongeaient doucement sur sa serviette, elle ouvrit ses cuisses, tout en continuant de se fouiller la chatte en profondeur.

Bernard regarda de nouveau autour d’eux, et fut un peu soulagé qu’il n’y ait que le vieux qui avait remarqué les mouvements lubriques de sa femme, mais enivré par sa propre excitation, il commença à retirer le bas du maillot de bain de sa femme.

Celle-ci, pensant que c’était ses amants qui la déshabillaient, souleva les fesses afin de leur permettre de retirer son dernier vêtement.

Elle se retrouva complètement nue sur sa serviette, avec deux doigts profondément enfoncés au fond de sa chatte.

Elle gémissait de plus en plus fort, Bernard redoutait que quelqu’un ne finisse par l’entendre, alors il sortit sa queue et la posa sur la bouche de sa femme, celle-ci l’avala aussitôt et se mit à la sucer avec un appétit féroce, en s’imaginant pomper ...