1. Retrouvailles


    Datte: 10/02/2025, Catégories: amour, BDSM / Fétichisme Transexuels fdanus, Auteur: Mirabel, Source: Revebebe

    ... de mon cou, m’attire et m’embrasse sur la bouche… La petite vieille lève les yeux au ciel, et marmonne : « Quelle jeunesse ! Une honte ! » Sophie éclate de rire, s’approche d’Anola, l’embrasse sur les lèvres et nargue la petite vieille qui est devenue rouge tomate. Sophie lève le pouce en signe de victoire, et nous invite à la suivre :
    
    — Si on reste là, il va falloir appeler le SAMU…
    
    Arrivé à la voiture, je vais pour ouvrir la portière arrière, mais il n’y en a pas ! C’est une petite berline allemande, deux portes, d’allure sportive, très sympathique. Mais pour pénétrer aux places arrière, il faut basculer le siège et se contorsionner. Mission quasi impossible pour moi ! Alona se dévoue pour y aller et me met en boîte :
    
    — Toi, il te faut un toit ouvrant ou une décapotable, sinon il faut faire plusieurs voyages…
    
    Bon, d’accord, ce n’est pas le genre de voiture qui conviendrait à ma carcasse, mais à l’avant, je suis à l’aise. Sophie s’installe au volant, évidemment sa jupe remonte à mi-cuisses, elle ne fait rien pour la rabaisser. Elle me regarde en souriant, prend ma main gauche et la pose sur sa cuisse ! Je suis très gêné, je me retourne pour voir Anola. Elle ne semble pas choquée du tout, me sourit et m’envoie un bisou du bout des doigts. Sophie me demande :
    
    — Excuse-moi, si je te pose cette question alors que tu es à peine arrivé, mais il faut que je m’organise. Quand comptes-tu repartir ? Oh, je t’ai tutoyé ! Mais pas de chichis entre nous, tu me tutoies ...
    ... aussi !
    — Je… vous… OK, je vais essayer ! J’ai mon avion pour le retour lundi prochain ; il faudrait que je sois à l’aéroport vers dix heures.
    — Ça tombe bien, le magasin est fermé le lundi matin, donc je pourrai t’y emmener. Anola ? Je t’avais demandé de me réserver une journée. C’est toujours d’accord ? On pourrait passer la journée de dimanche ensemble ?
    
    Anola m’interroge du regard, je lui fais signe que oui, elle répond :
    
    — Pour moi, c’est bon. Et si Rémy est d’accord, tu pourrais même nous prendre samedi soir, après la fermeture du magasin ?
    — Parfait, on fait comme ça.
    
    Je suis étonné de la facilité qu’a Sophie de tout régler en quelques instants, sans se départir de son magnifique sourire. J’étais plutôt mal à l’aise avant de la voir – je suis plutôt timide avec les filles – et je me demandais comment allait se passer le moment où je devrais la rencontrer pour la première fois. Et en quelques minutes, elle m’a rassuré, nous sommes à présent comme de vieux amis ! Et même des amis intimes, puisque ma main a le droit de caresser sa cuisse ! Alors j’en profite, sans exagérer pour ne pas lui faire perdre le contrôle de sa voiture. La glace est rompue et Anola me sourit…
    
    Nous arrivons au magasin ; Sophie nous lâche sur le trottoir et repart pour se garer. Nous montons à l’appartement, Alona entre, je la suis, elle appelle « Léna ? », personne ne répond.
    
    — Oh, que je suis bête ! Léna ne peut pas être là, elle tenait le magasin pendant que nous sommes venues te ...
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