La vérité est ailleurs... (7)
Datte: 24/07/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... elle s’adonnait à son passe temps favori: le sexe.
Cécile était maintenue par les immenses feuilles de la plante qui s’étaient enroulées autour de ses jambes. Légèrement soulevée du sol par ces feuilles qui lui écartaient les cuisses, ses bras étaient également maintenues par les hautes tiges, dont des excroissances lui liaient les poignets. Ainsi “emprisonnée” par la plante, quasi à l’horizontale, le sexe offert, elle subissait “les assauts” lubriques de la “plante”. Des excroissances nombreuses, avec des bulbes lisses, arrondis, et gluants prenaient possession de sa vulve et de son anus. Ma femme était littéralement pénétrée par ces bulbes qui exerçaient des mouvements de va et vient dans sa fente et son anus dilatés. D’autres tiges, tels des tentacules végétaux, venaient lui caresser le pubis, les seins, la bouche, certaines emprisonnaient les pointes de ses seins et semblaient les pincer, une autre prenant la forme d’une langue, s’immisçait dans sa bouche et tournait autour de sa langue, en un baiser obscène.
Quand elle le pouvait, lorsque ces feuilles lui laissaient la bouche libre, Cécile gémissait, ahanait. Elle semblait prendre un pied énorme à se faire ainsi "baiser" par cette plante lubrique et redoutable. Alors qu’elle ne cessait de jouir, les feuilles qui lui emprisonnaient les membres, la soulevèrent à la verticale et la présentèrent en position “assise”, les cuisses toujours terriblement écartées, sur une tige brunâtre ayant un diamètre d’environ 8 ...
... centimètres et effilée à son extrémité; Cécile fut empalée dessus, et fut descendue progressivement sur la longueur de la tige lubrifiée. Ma femme était littéralement enculée sur la tige et elle en éprouvait beaucoup de plaisir , vu les cris de jouissance, et les spasmes qui ne cessaient de sortir de sa poitrine.
Une fois son plaisir anal atteint, la tige sodomisatrice se retira et diminua de grandeur, bien vite remplacée par une autre tige souple, avec à son extrémité une espèce d’excroissance à plusieurs branches souples de 5 à 15 centimètres de longueur, qui ne cessaient de se rassembler et de s’écarter les unes des autres, dans un mouvement rotatif hélicoïdal. Cette tige se présenta devant le visage de Cécile, toujours maintenue en position assise à un mètre cinquante au dessus de la base de la plante, qui ouvrit la bouche en sortant sa langue. La “main végétale” se fixa alors sur son visage et des “doigts” prirent possession de sa bouche. Puis se retirant, la tige articulée s’abaissa lentement vers son sexe, alors que Cécile la suivait fiévreusement du regard.
Et se reculant, comme pour prendre son élan, à la manière d’un crotale en posture d’attaque, elle pénétra vigoureusement la vulve de Cécile, qui était maintenue ouverte par des vrilles végétales; Cécile eut un haut-le-corps sous le coup de cette pénétration subite et violente, mais ne tarda pas à crier à nouveau sa jouissance.
Je compris au regard et à l’expression parfois mi douloureuse, mi extatique de mon ...