1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Canicule et piscine (1/1)


    Datte: 08/02/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... dur.
    
    J’ai pied je me stabilise, relâchant ce sein que je sais être à Steve.
    
    • Alors voisin, c’est comme ça que l’on fait la cour à une dame en la pelotant dans le noir.
    
    Il faut que je reconnaisse que cela a été fort agréable.
    
    Hélas, le manque de lune m’empêche de vous voir.
    
    La stupeur de m’apercevoir que la propriétaire de la piscine est là ayant eue la même idée que moi, une fraction de seconde, je bois la tasse.
    
    Je préfère l’anisette ou le rosé avec des glaçons.
    
    Reprenant pied, je crache l'eau avalée.
    
    • Marie, ou se trouve Steve !
    
    • J’ai évité de le crier sur les toits, Steve m’a quitté il y a plus d’une semaine, je suis seule dans ma maison.
    
    • Il t’a trompé.
    
    Je me rends compte que je viens de la tutoyer.
    
    • Si je te disais avec qui il est parti, tu serais étonné.
    
    • Trop chaud malgré l’eau qui nous entoure, dit moi.
    
    • Julien son copain, j’ignorais que Steve aimait les hommes.
    
    Insidieusement est-ce l’eau qui me porte, Marie se rapproche de moi.
    
    Elle fait la grenouille, moi aussi.
    
    Qui d’elle ou de moi réduit la distance ?
    
    Ce qui est certain, c’est que ses seins sont de nouveau à porter de ma main.
    
    Pourquoi se priver ce coup-ci de l’empoigner sans sentir la moindre résistance ?
    
    Ses seins sont deux fois plus gros que ceux de Sandra, à la différence plus vieille, ils sont très fermes alors que ceux de ma femme commencent à ressentir l’attraction terrestre.
    
    Sa bouche trouve la mienne, ses bras entourent mon cou et je ...
    ... sens son bas-ventre s’appuyer sur le mien.
    
    À quelle température peut être l’eau de la piscine qui a été chauffée depuis trois jours avec des chaleurs à plus de 50 au soleil.
    
    30°, pourtant sans qu’elle ait besoin de me toucher, je bande comme je bandais dans notre chambre.
    
    Quand dans un mouvement de son bassin s’aidant de ses bras elle s’empale sur ma verge.
    
    Une petite pensée pour celle qui dort à quelques mètres d’ici et que je trompe sans l’avoir prémédité, simplement par l’appel de la fraicheur de l’eau me rattrape.
    
    Je place mes mains sous ses fesses, elles aussi très fermes et la soulevant pour la faire retomber, je sens du fond d’elle le plaisir qui monte.
    
    J’étais en manque ayant hésité à réveiller celle à qui je fais porter des cornes.
    
    Mon sperme gicle en elle au moment où son orgasme transperce ma bouche.
    
    J’ai peur d’avoir réveillé ma douce.
    
    Une nouvelle fois, c’est moi qui culpabilise, en pensant à « ma douce ».
    
    Une douce on évite de la tromper, mais le mal est fait, il va falloir que j’assume.
    
    Nous nageons, pardon, nous barbottons la chaleur malgré la nuit étant toujours là.
    
    • Christian ou es-tu ?
    
    Merde Sandra, elle me cherche.
    
    • Marie cache-toi le long du bord, afin d’éviter que ma femme puisse me trouver.
    
    Elle le fait c’est sympa, elle aurait pu dire que nous étions là me mettant dans un grand embarras.
    
    • Je suis là ma douce, il faisait chaud, je suis venu profiter de la piscine de nos voisins.
    
    • Tu es fou, s’ils ...