COLLECTION SM. Accro au sexe violent (5/6)
Datte: 08/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Dans mon récit de ce qui s’est passé dès que j’ai été livré à moi-même jusqu’à la forge de l’enfer, je pensais être arrivée au bout de ma déchéance.
Ludovic m’a petit à petit appâté avec quelques billets afin de m’amener là où je suis arrivée aujourd’hui.
Un objet, oui, mais un objet sexuel tout juste bon à être filmé dans des postures indignes de la jeune fille que j’étais en arrivant de mon village perché au milieu des vignes bourguignonnes.
Ernest, Annabelle ont été mes dernières étapes de cette descente aux enfers lorsque j’ai accepté d’être filmé en me faisant baiser par cet homme immonde, dans cette caravane immonde.
Filmé les seins enserrés par une petite corde me coupant le sang et que je ressens encore lorsque j’émerge de la légère perte de conscience qui m’a frappé.
Je parlais d’étapes, la sévère volée de coups de badines qu’Annabelle m’a infligée en était une, surtout lorsque certains coups ont été appliqués sur ma chatte.
Lorsque j’ouvre les yeux, les refermant aussitôt.
L’impression d’avoir entendu des voix disant qu’on me manipulait est loin, surtout qu’Annabelle peut être pour se faire pardonner des sévices qu’elle m’a infligés, m’a écarté les jambes et me broute le minou.
Jouir, sous la langue d’une femme, ça aurait pu être normal, mais un œil nous regardait.
L’œil de la caméra dont se sert Ludovic pour tourner ses films pornos.
Elle m’est cachée lorsque Annabella se retournant vient offrir sa chatte à ma langue.
Je plonge ...
... littéralement sur son clitoris comme elle le fait pour le mien.
De nouveau, jouirent sous la langue de cette salope est une étape nouvelle des débauches que j’accepte, mais une bien bonne débauche.
• C’est bien les filles, roulez-vous une pelle et venez snifer les lignes que j’ai préparées sur la table ou je choisis mes photos.
J’ai parlé de la manière dont Ludovic m’a appâté, billets puis alcool et cigarettes en passant par des joints et par finir par cette poudre blanche que chacun de nous, nous nous mettons dans le pif.
Là encore lorsque je prends le petit tube de plastique pour me bourrer le nez, j’ignore que je deviens de plus en plus accro à la coke fourni par une certaine Radia.
Radia, marocaine, que Ludovic m’a dit avoir rencontré lors d’un de ses tournages le fournit en coke en petite quantité, mais suffisante pour notre consommation.
Quelques minutes pour que la poudre fasse effet et je suis de nouveau en pleine forme lorsque la porte de la forge s’ouvre.
Ernest est là avec deux beaux gosses, la parfaite image de l’un ou de l’autre, des jumeaux blonds comme les blés comme ceux qui poussent dans la partie basse de notre village à Sylvain et à moi.
Les parties plus abruptes étant couverte de vignes pour en faire du blanc ou du rouge en d’énormes quantités.
• Salut, les gars, elles sont prêtes à tourner, emmenez-les dans le fond de la forge et attachez-les.
Merde, je croyais avoir rêvé les propos de Ludovic disant qu’il allait me confier à ces ...